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21 posts from décembre 2013

19 décembre 2013

Les logos environnementaux en poche

Visuel Memo LogoTous les produits de consommation que nous achetons ont des impacts sur l’environnement.

Nous pouvons les limiter en choisissant des produits portant un logo environnemental.

Il y a les incontournables comme l'Ecolabel Européen ou encore le logo AB pour Agriculture Biologique. Mais il existe, secteur par secteur, de nombreuses références toutes aussi fiables.

Pour s'y retrouver, l'ADEME propose un mémo - sorte de mini-panorama de poche - qui permet d'identifier facilement les logos disponibles sur nos achats les plus courants.

 Le Mémo des logos environnementaux

Objectif CO2 : une démarche reconnue par les transporteurs

Logo Objectif CO2Fondée sur une démarche volontaire, la charte Objectif CO2 - Les transporteurs s'engagent s'adresse aux entreprises de transport routier de marchandises (TRM) comme de voyageurs. Elle leur fournit un cadre méthodologique leur permettant d'améliorer leur performance environnementale, notamment la réduction de leurs émissions de CO2 et donc essentiellement leurs consommations de carburant. Les entreprises s'engagent à atteindre, au terme d'une période de 3 ans, un objectif global de réduction de leurs émissions de CO2 sur la base d'un plan d'actions adapté à chaque entreprise.

La démarche est désormais reconnue par l'ensemble de la profession. C’est le seul dispositif national existant qui propose aux transporteurs un référentiel global et structurant en matière de réduction des émissions de CO2. C’est un catalyseur très fort, notamment pour les PME et les TPE (45% des entreprises engagées ont moins de 50 salariés et 41% ont entre 50 et 300 salariés). La démarche Objectif CO2 a permis d’étoffer et structurer les plans d’actions de ces entreprises autour d’objectifs chiffrés.

Une évaluation de la charte Objectif CO2 - Les transporteurs s'engagent a été réalisée à la demande de l'ADEME et publiée en novembre dernier.

Près de cinq ans après son lancement, ce sont près de 1000 entreprises de TRM (dont 10% de TR de voyageurs) qui se sont engagées dans cette démarche de progrès, dont plus du tiers ont achevé leur période d'engagement de 3 ans (2008-2011). Une grande majorité de ces entreprises se réengagent pour un nouveau cycle de 3 ans.
Si seulement 2% des entreprises se sont engagées dans la démarche Objectif CO2, elles représentent près de 100 000 véhicules impliqués (soit environ 18% des poids lourds en circulation en France).

A l'échelle nationale, la démarche Objectif CO2 a permis d’économiser plus de 700 000 tonnes de CO2 entre 2009 et 2012. Les entreprises économisent entre 2,2 et 3,6% de carburant sur les 3 ans d’engagement.

Tous les métiers de la profession de transporteur routier sont maintenant représentés. Pour accompagner au mieux ces entreprises un site Internet dédié (www.objectifco2.fr ) a été mis en ligne. Il intègre un outil Web permettant aux entreprises, après avoir renseigné leurs données d’exploitation, de suivre sur 3 ans leur performance environnementale, de simuler et suivre leur plan d’actions et leurs objectifs chiffrés en émission de CO2. Ces données et indicateurs sont indispensables aux calculs de l’information CO2 des prestations de transport devenue obligatoire depuis le 1er octobre 2013.

La démarche Objectif CO2 est particulièrement efficace lorsque l’on regarde le rapport entre les dépenses publiques mobilisées et le bénéfice environnemental constaté.

L’évaluation de la charte Objectif CO2 - Les transporteurs s'engagent a permis d’identifier un certain nombre de recommandations qui seront mises en œuvre à partir de 2014. L'objectif est de pérenniser et renforcer la démarche dans le temps. Parmi ces recommandations, la mise en place d’un système de label afin de permettre aux entreprises les plus « vertueuses » de valoriser non plus uniquement un engagement mais aussi les résultats qu’elles ont obtenus notamment en termes de niveau de performance environnementale.

 Synthèse de l'évaluation de la démarche Objectif CO2 (PDF - 275Ko)

18 décembre 2013

Les recherches sur la pollution de l’air

Visuel Lettre Recherche N°5La pollution de l’air est un enjeu majeur d’environnement et de santé publique. La prise en charge des maladies liées à la pollution de l’air est estimée, chaque année en France, entre 825 millions et 1,7 milliard d’euros. Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), qui avait classé les particules fines Diesel comme cancérogènes certaines pour l’homme en juin 2012, vient de classer la globalité de la pollution de l’air elle-même comme cancérogène.

Les polluants de l’air les plus préoccupants sont les particules, particulièrement les plus fines, et le NO2. Ces polluants voient leurs seuils autorisés régulièrement dépassés dans les grandes agglomérations. Les effets de chaque polluant sont difficiles à isoler.

Au niveau national comme au niveau européen, la questions des impacts environnementaux des transports, notamment la pollution atmosphérique et le bruit, est centrale dans la recherche de nouvelles solutions de mobilité. 

Transport et santé, c'est un thème à découvrir dans la Lettre Recherche N° 5 de l'ADEME.

 La Lettre Recherche N°5

17 décembre 2013

Innovation : stocker l'énergie ou la convertir en hydrogène

Label IA_100mmL'essor des énergies renouvelables – énergies intermittentes par nature - nécessite du réseau électrique une grande flexibilité pour assurer non seulement l’équilibre de l’offre et de la demande mais surtout garantir sa propre stabilité.

Deux approches sont aujourd’hui privilégiées car elles n’entrainent ni évolution majeure du réseau, ni augmentation des émissions de CO2 : le stockage d’énergie (chaleur et électricité) et la conversion de l’électricité renouvelable en hydrogène.

L'Etat annonce aujourd'hui le lancement d’un appel à manifestations d’intérêt (AMI) « stockage et conversion de l’énergie » dans le cadre du Programme Investissements d’Avenir piloté par l’ADEME. Il souhaite ainsi poursuivre la dynamisation d’une filière française à fort potentiel énergétique et environnemental.

Le présent AMI s’appuie sur une étude récente, lancée conjointement par l’ADEME, l’ATEE et la DGCIS qui pour la première fois en France évalue le potentiel de stockage de l’énergie à l’horizon 2030. Il s'inscrit par ailleurs dans le cadre du programme « Démonstrateurs et plateformes technologiques en énergies renouvelables et décarbonées et chimie verte », doté de 1,125 Md€ de crédits. Ce programme a pour ambition de promouvoir les technologies propres, le développement des énergies renouvelables et de maîtriser les consommations d’énergie et de matières premières.

Cet AMI est ouvert jusqu’au 28 janvier 2015. Une clôture intermédiaire sera effectuée le 31 mars 2014. Les projets peuvent être soumis pendant toute la période d’ouverture de l’AMI.

 En savoir plus sur l'AMI Stockage et conversion de l'énergie

 Une étude sur le potentiel du stockage d'énergies

 En savoir plus les Investissements d'avenir

Emissions de gaz à effet de serre : des bilans secteur par secteur

Depuis 2007, l’ADEME accompagne le développement de guides sectoriels pour la réalisation des bilans d’émissions de gaz à effet de serre avec des entreprises et fédérations volontaires. Un guide sectoriel s’attache à définir les sources, puits, type de gaz, données nécessaires et modalités de calculs pour chaque poste émetteur de gaz à effet de serre du secteur considéré afin d’optimiser la réalisation des bilans.

En l’absence de cadre national ou international relatif à ces démarches, l’ADEME a élaboré, de façon collaborative avec un ensemble de partenaires, un document cadre destiné à garantir l’homogénéité, le contenu minimum et la cohérence des guides sectoriels.

A la suite d'un appel à candidatures, plusieurs consortiums représentatifs de leur secteur d'activité ont été retenus par l’ADEME pour tester les lignes directrices ainsi définies :

  • Consortium Agroalimentaire : ANEA + ANIA + O2MConseil
  • Consortium Travaux Publics : FNTP + Eurovia + Eiffage Energie + Sade + partenaires techniques (Efficacity, Chaire Génie civil Ecoconstruction de l’université de Nantes, IDDRIM)
  • Consortium Chimie (UIC + SANOFI + SOLVAY + YARA + CITEPA) expérimentera le développement d’un guide général Chimie intégrant un « fascicule branche » avec le...
  • Consortium du Pôle de compétitivité Parfums Arômes Senteurs Saveurs (PASS)
  • Consortium Ameublement : FCBA + CETIM +UNIFA + EUROSIT + COULIDOOR + COFEL.

Un soutien financier et technique sera apporté par l’ADEME aux candidats sélectionnés.

 Notre communiqué du 17/12/2013 (PDF - 2,3 Mo)

16 décembre 2013

Les dates limites de consommation - Enquête de la CLCV

CLCVDate limite de consommation (DLC), date limite d’utilisation optimale (DLUO), la distinction entre ces dates présentes sur les denrées alimentaires est souvent mal comprise des consommateurs, ce qui peut générer des risques sanitaires ou du gaspillage. C’est ce que montre la récente enquête réalisée par la CLCV dans le cadre de son partenariat avec l’ADEME sur la consommation durable.

Selon l’étude menée auprès de 2 584 personnes, la grande majorité des consommateurs se base sur leur expérience et leur connaissance des produits pour décider de consommer ou de jeter un produit dont la DLC ou la DLUO est dépassée. Ainsi, ils sont nombreux à consommer des produits qui, au sens de la réglementation, sont périmés depuis plusieurs jours, tout en jetant des denrées encore consommables.

Les consommateurs sont pourtant particulièrement attentifs aux dates limites des produits alimentaires réputés fragiles lorsqu’ils font leurs courses. Ainsi, près de 75 % des sondés déclarent regarder systématiquement la date de péremption lorsqu’ils achètent des yaourts ou du jambon. A l’inverse, pour les denrées non périssables, la date n’est pas perçue comme une information essentielle.

Dans certains cas, l’information fournie par les dates paraît mal comprise et mal utilisée. Ainsi :

  • plus de 43 % des sondés déclarent jeter une boîte de raviolis en conserve lorsque la DLUO est dépassée de trois semaines. 30 % pensent même qu’il y a un risque d’intoxication. Pourtant, la date n’est ici qu’indicative et le produit est encore parfaitement consommable ;
  • plus de 80 % des sondés mangent un yaourt nature dont la DLC est dépassée de trois jours. À plus de 3 semaines, ils sont encore plus de 21 % à consommer ce laitage. En théorie, la DLC doit être respectée scrupuleusement pour des raisons sanitaires ;
  • plus de la moitié des sondés jettent, en revanche, un steak haché dont la DLC est dépassée de 3 jours. Les consommateurs apparaissent davantage sensibilisés aux risques sanitaires associés à ces produits.

La CLCV recommande un effort de pédagogie pour mieux sensibiliser et informer le consommateur et ainsi, réduire, notamment, le gaspillage alimentaire.

 Consulter l'enquête détaillée

 Stop au gaspillage: les conseils de l'ADEME

Agriculture : les 10 actions les plus efficaces pour réduire les émissions d'ammoniac

Bajstock.comL'ammoniac (NH3) est un polluant atmosphérique qui participe à la formation de particules fines et favorise l'acidification et l'eutrophisation des milieux. La France est le pays de l’Union Européenne qui émet le plus d’ammoniac (NH3) dans l'atmosphère.

Générées presqu'en totalité par le secteur agricole (97% des émissions nationales) et en particulier l'élevage (75% des émissions nationales) les émissions d'ammoniac constituent une perte d'azote pour les exploitations agricoles.

Une directive européenne - la directive IED - impose à certains élevages avicoles et porcins d'appliquer les meilleures techniques disponibles pour réduire leurs émissions.

Depuis plusieurs années, l’élevage s'est engagé dans la réduction des émissions d’azote, dont l’ammoniac, via notamment l’optimisation de l’alimentation animale (volailles et porcins), l’amélioration de la gestion des effluents et leur valorisation agronomique.

C'est dans ce contexte que l’ADEME a chargé le consortium formé du CITEPA, de l’Institut de l’Elevage (Idele), l’IFIP-Institut du Porc et l’ITAVI d'identifier 10 actions ayant le meilleur rapport coût-efficacité pour réduire les émissions d'ammoniac à l’échelle de la France aux horizons 2020 et 2030. Elle rend aujourd'hui publique son étude prospective.

 Synthèse de l'étude Analyse du potentiel de 10 actions de réduction des émissions d'ammoniac des élevages français aux horizons 2020 et 2030 (PDF 378 k)

Cette étude complète le travail réalisé par l'ADEME et l'INRA sur les actions de réduction des émissions de gaz à effet de serre du secteur agricole.

 Dix pistes pour réduire l'impact de l'agriculture sur le climat

12 décembre 2013

Alerte pollution !

Bajstock.comLa France connaît actuellement un épisode de pollution de l'air de grande envergure. Sur une échelle de 10 niveaux, de très bon à très mauvais, l'indice français Atmo qui permet d'évaluer la qualité de l'air extérieur, est à ce jour supérieur à 8 dans de très nombreuses villes Françaises comme Avignon, Strasbourg, Lyon, Paris, Nantes, Mulhouse, Tours, Lille, Valencienne... c'est à dire une qualité de l'air mauvaise à très mauvaise.

L'indice Citeair, indice européen qui affiche quant à lui la qualité de l'air des principales villes européennes, est aujourd'hui pour la capitale française supérieur à 100 !

 

Visuel échelle CITEAIR

 

Airparif, comme plusieurs autres Associations Agréées Surveillance Qualité de l'Air (AASQA), prévoit des niveaux soutenus en particule PM10 durant toute la semaine.

L'indice de pollution prévu pour ce jour est très élevé :

  • Indice de l'agglomération de Paris : >100 dû aux Particules (PM10)
  • Niveaux maximum sur les stations mesurant la pollution ambiante de l'agglomération compris entre :
    • 10 µg/m³ et 40 µg/m³ pour l'Ozone (O3)
    • 130 µg/m³ et 160 µg/m³ pour le Dioxyde d'Azote (NO2)
    • 80 µg/m³ et 90 µg/m³ pour les Particules (PM10)

L’impact sanitaire des particules est aujourd’hui démontré. Il dépend de leur taille et de leur composition chimique. Ainsi les particules fines issues de la combustion (transport, chauffage, industrie,…) sont potentiellement les plus toxiques car non seulement composées majoritairement de Carbone Suie mais aussi parce qu'elles ont la faculté de se déposer au plus profond des voies respiratoires.

Réduire les émissions du transport routier

Les particules des véhicules Diesel qui représentent plus de 60% du parc circulant en France, font partie de cette fraction fine de particules. Cela concerne le parc de véhicules anciens et de tous types, fortement émetteur, et en particulier les véhicules Diesel non équipés de "filtres à particules fermés".  

Afin d’améliorer rapidement la qualité de l’air dans les zones urbanisées les plus polluées, l’ADEME recommande donc d’agir prioritairement sur le parc de véhicules anciens, en particulier le parc Diesel non équipé de filtres à particules fermés : véhicules particuliers et véhicules de livraison ainsi que  flottes captives (taxis, bus…) circulant dans les agglomérations.

Visuel Guide Chauffage L'Avis de l'ADEME : Emissions de particules des véhicules routiers

 

Réduire les émissions du chauffage au bois individuel

Il faut savoir également que les émissions de particules issues de la combustion du bois (feu de cheminée, brûlage des déchets,...) contribue également aux niveaux de particules dans l’air ambiant.  Dans un Avis dédié au chauffage au bois et à la qualité de l'air, l'ADEME recommande notamment aux particuliers de réduire l'usage des appareils individuels les plus émetteurs de polluants. En l'état des connaissances actuelles, les foyers ouverts ainsi que les appareils à foyer fermé datant d'avant 2002 doivent être ciblés prioritairement et remplacés par les équipements les plus performants (porteurs du label Flamme Verte ou présentant des performances équivalentes). Les progrès techniques réalisés sur les appareils au bois depuis 2002 ont en effet permis de réduire considérablement les émissions de polluants et d’améliorer l’efficacité énergétique des équipements.

 L'Avis de l'ADEME : Bois énergie et qualité de l’air

 Le guide pratique : La qualité de l’air et le chauffage au bois

11 décembre 2013

Fêtes de fin d'année : ce qu'il faut savoir

Cadeaux, repas, décorations,… ce sont les incontournables de Noël ! Chaque fin d'année, à l'occasion des fêtes, l'ADEME propose sur son site quelques informations bonnes à savoir lorsque l'on souhaite garder un oeil sur ses consommations - énergétiques bien sûr mais aussi et plus largement liées aux achats de Noël - et leurs impacts sur l'environnement. 

Par exemple...

Avez-vous une idée de la consommation électrique d’une maison et d’un jardin richement décorés ?

Bajstock.comVoici un bref calcul :

  • 1 guirlande à LED dans le sapin de 4 W ;
  • 1 guirlande avec mini-ampoules dans le sapin de 50 W ;
  • 2 guirlandes extérieures « stalactites » à LED de 12 W ;
  • 1 guirlande tube à LED de 9 mètres de long de 147 W ;
  • 1 animal décoratif à LED à poser de 25 W ;
  • 1 sapin décoratif à LED à poser de 20 W ;
  • 1 décor « Père Noël » à poser de 25 W ;
  • 3 décors de fenêtre à LED de 12 W chacun.

Au total, ces illuminations ont une puissance de 331 W.

En restant allumées 4 heures par jour pendant 30 jours, ces décorations lumineuses consomment 39,7 kWh. Pendant la période des fêtes, elles représentent ainsi à elles seules la consommation d’un mois et demi d’éclairage du logement.

Des illuminations qui fonctionnent toute la nuit, c'est-à-dire des guirlandes allumées 12 heures, par oubli ou autres, et ce, à raison de 10 nuits, la consommation passe alors à 66,2 kWh, ce qui représente la consommation de 3 mois d’éclairage du logement.

 Toutes ces infos sur l'Espace Eco-citoyens de notre site

L'ADEME accueille sa nouvelle Directrice Exécutive Programmes

Marie_Christine Premartin_ADEMEMarie-Christine PREMARTIN rejoint l’ADEME en qualité de Directrice Exécutive Programmes. Elle est chargée de définir et de mettre en œuvre les orientations stratégiques de l’Agence dans les domaines des déchets, des sols pollués et des friches urbaines, de l’énergie et du climat, de l’air et du bruit; mais aussi de domaines plus transverses tels que la production et la consommation durables ainsi que les villes et les territoires durables.

Elle pilote et anime ainsi 3 directions : Consommation Durable et Déchets, Production et Energies Durables, Villes et Territoires Durables, mais aussi le service Climat directement rattaché à sa Direction.

Depuis 2009, Marie-Christine PREMARTIN était Directrice générale adjointe en charge du Pôle Aménagement et Développement durable au Conseil Général de Seine-Saint-Denis. Ses missions couvraient principalement l'aménagement et le développement urbain et économique, la voirie, les déplacements et les transports, l’environnement, l’écologie urbaine, l’eau et l’assainissement.

Agée de 55 ans, Marie-Christine PREMARTIN est ingénieure en chef des Ponts, des Eaux et des Forêts.