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18 posts from janvier 2014

30 janvier 2014

L'ADEME actualise son « Car Labelling »

Visuel Car Labelling4 fois par an, l'ADEME actualise son Car Labelling, un comparateur en ligne qui affiche les polluants émis par les véhicules neufs - hybrides (non rechargeables), essence et Diesel - actuellement proposés sur le marché automobile français.

Cette actualisation comprend :

  • une mise à jour de la base « véhicules particuliers neufs »; ces données concernant les nouveaux modèles et véhicules rentrés sur le marché français au 1er janvier 2014 sont transmises à l'ADEME par les services homologations de l'UTAC. A ce jour, le site Car Labelling compte près de 6 000 véhicules;
  • une mise à jour des palmarès des véhicules hybrides (non rechargeables), essence et Diesel les moins polluants;

 Palmarès des véhicules hybrides

 Palmarès des véhicules essence

 Palmarès des véhicules Diesel

 

Nouveautés 

Le site tient compte de la sévérisation du malus écologique qui touche les véhicules dès le seuil des 131g CO2/km (contre 136g CO2/km auparavant ) selon le nouveau barème appliqué au 1er janvier 2014.

Il intègre les évolutions de la Taxe sur les Véhicules de Société (TVS); depuis le 1er Visuel Bon à savoirjanvier 2014, au montant relatif aux émissions de CO2, s’ajoute désormais un nouveau montant relatif aux émissions de polluants atmosphériques.

Enfin, lorsque l’on consulte la fiche d’un véhicule dont la classe d'émissions de CO2 est supérieure à A, un message incitatif alerte désormais l'internaute en l'invitant à accéder directement à la liste des véhicules de la même taille qui émettent moins de CO2.

 En savoir plus sur la Taxe sur les Véhicules de Société (TVS)

 Le guide pratique Optimiser vos déplacements

Cit’ergie® : quand les collectivités maîtrisent leur consommation en énergie

Logo CitergieAujourd'hui, lors des Assises de l’Energie qui se tiennent à Dunkerque du 28 au 30 janvier 2014, 14 collectivités françaises se sont vues remettre des mains de Bruno LECHEVIN, Président de l’ADEME, et Daniel GUILLOTIN, Président de la Commission Nationale du Label Cit’ergie® et représentant du réseau FLAME, une distinction qui récompense leurs actions en faveur de la maîtrise de l’énergie et de la protection du climat.

Dunkerque rejoint Besançon

Très engagée sur les questions environnementales, la Communauté urbaine de Dunkerque a atteint en 2013 la labellisation européenne eea gold® (Cit’ergie® GOLD). Première communauté urbaine à recevoir le label Gold, elle rejoint ainsi la ville de Besançon, déjà labellisée en 2012, et les 79 collectivités européennes détentrices de cette distinction.

Un engagement fort

Outre la Communauté urbaine de Dunkerque, 13 autres collectivités ont été récompensées, soit en obtenant le label Cit’ergie®, soit par une reconnaissance de leurs engagements en faveur d’une politique énergie-climat exemplaire.

La ville de Dijon (21) a obtenu le label Cit’ergie®, après avoir été reconnue CAP Cit’ergie® en 2010. Plus récemment engagées dans la démarche Cit’ergie®, les villes de Pessac (33), de Chambéry (73), de La Rochelle (17), de Lille (59), d’Orvault (44) et de Vire (14), et la Communauté d’agglomération de Chambéry (73) ont reçu le label Cit’ergie® pour la première fois.

Les villes de Niort (79), Rouen (76) et Malaunay (76), les communautés d’agglomération d’Agen (81) et du Centre de la Martinique (972) s’engagent à atteindre, au maximum dans 4 ans, les objectifs fixés par le label et obtiennent la reconnaissance CAP Cit’ergie®.

Cit'ergie® aujourd'hui

Depuis le lancement du label Cit’ergie®, 2 collectivités sont labellisées Cit'ergie® GOLD et 21 collectivités sont labellisées Cit'ergie® (soit 2,8 millions d’habitants au total) ; 12 collectivités sont reconnues CAP Cit’ergie® (soit 1,2 million d’habitants) et 43 autres collectivités sont actuellement en processus Cit'ergie® en vue d'une labellisation (soit un total de 78 collectivités au 20 décembre 2013).

 Le dossier de presse Cit’ergie® (PDF - 615 Ko)

 En savoir plus : www.citergie.ademe.fr

29 janvier 2014

TREC ou comment fabriquer des pneus neufs avec des pneus usagés !

Avec les prévisions de croissance du marché mondial du pneumatique, la demande en matières premières va considérablement augmenter dans les décennies à venir. La mise en place de nouvelles voies de valorisation des pneumatiques usagés devient particulièrement opportune.

Ainsi, le CEA, Michelin, Protéus (Groupe PCAS) et SDTech vont développer ensemble deux voies portant sur cette valorisation de pneumatiques usagés. Ce projet appelé TREC (Tyre Recycling ) a été sélectionné par l'ADEME dans le cadre du Programme Investissements d'Avenir et financé à hauteur de 13,3 M€ . D'une durée de 8 ans, TREC dispose d'un budget de 51 M€

Visuel PneusLa première voie de valorisation, TREC Régénération, consiste en la régénération de mélanges de gomme pour la fabrication de pneumatiques neufs.

La seconde, TREC Alcool, permettra la production d’un intermédiaire chimique nécessaire à la synthèse de matières premières utilisées dans la fabrication de pneumatiques. L’alcool ainsi produit interviendra notamment dans la filière française de production de butadiène BioButterfly, en complément des alcools issus de biomasses telles que sucres, bois, résidus agricoles ….

Le projet TREC couvre l'ensemble des étapes de recherche et de développement des procédés, depuis les concepts scientifiques, jusqu'à la validation sur un démonstrateur industriel, en passant par la phase pilote et en s'appuyant sur la complémentarité des compétences et expertises des partenaires.

En réincorporant à l’échelle industrielle des matières recyclées de pneumatiques usagés dans les neufs, les technologies développées par TREC renforcent le niveau d’expertise en France, pour le développement d’une économie circulaire en cohérence avec les filières existantes.

 En savoir plus sur le projet TREC (PDF - 1Mo)

L'Europe et la croissance durable

Ademevous72_CouvCrise de confiance institutionnelle, crise de la dette publique, globalisation, pression migratoire, changement climatique et transition énergétique, développement durable et passage à une économie sobre en carbone… Les enjeux auxquels l’Europe doit faire face sont multiples.

L’adoption, le 19 novembre 2013 par le Parlement européen, du Cadre financier pluriannuel (CFP) constitue une étape clé de la mise en oeuvre d’une nouvelle politique stratégique pour l’Union. Ce budget va permettre à l’Union européenne d’investir jusqu’à 960 milliards d’euros en privilégiant la croissance durable, l’emploi et la compétitivité, conformément à la stratégie Europe 2020

Quelques chiffres     (Source : Union européenne)

  • 960 milliards d’euros programmés en engagements par le Cadre financier pluriannuel (2014-2020) de l’Europe.
  • 20 % de la programmation financière 2014-2020 consacrée au climat.
  • 23,3 milliards d’euros investis par l’Europe dans les Régions françaises de 2007 à 2013.
  • 31 919 projets français ont reçu le soutien du Fonds Européen de Développement Régional (FEDER).
  • 63 523 projets ont été soutenus en France par le Fonds Social Européen (FSE).
  • 78,6 milliards d’euros pour le programme Horizon 2020 (R & D et Innovation).

Lancé en octobre dernier, le portail horizon2020.gouv.fr est la vitrine française du programme européen Horizon 2020 pour la Recherche et l'Innovation.

Le N°72 du magazine ADEME&Vous consacre son dossier central aux Programmes européens 2014-2020.

 ADEME&Vous N°72 (PDF - 2,2 Mo)

28 janvier 2014

Voeux à la presse 2014 : la transition énergétique et écologique est une chance !

L’ADEME s’est fortement impliquée dans le Débat National sur la Transition Energétique (DNTE), en portant les principales propositions issues de ses scénarios énergétiques et climatiques aux horizons 2030 et 2050. Ce travail de prospective montre qu’il est possible de diviser nos émissions de gaz à effet de serre par 4 d’ici 2050, en diminuant par deux notre consommation d’énergie et en développant fortement les énergies renouvelables, avec une priorité sur l’efficacité énergétique .

L’évaluation macro-économique de ces scénarios, publiée à l’été 2013, montre aussi que la transition énergétique est porteuse d’emplois et de richesse : en 2030, environ 330 000 emplois supplémentaires pourraient être créés ; en 2050 ce serait entre 690 000 et 875 000 emplois supplémentaires.

Visuel Visions Energie ClimatEnfin, cette transition énergétique est possible sans remettre en cause les souhaits de confort et de bien-être de nos concitoyens. C'est ce que confirme un très récent travail mené par l’Agence sur la transcription en « modes de vie » de ses scénarios.

Troisième volet de l’exercice de prospective engagé par l’ADEME pour 2030-2050, ce projet décrit les modes de vie des ménages français qui seraient compatibles avec les scénarios énergétiques présentés par l’Agence dans le cadre du Débat National sur la Transition Energétique.

Il montre l’hétérogénéité des modes de vie possibles dans un avenir basé sur un système énergétique sobre (la consommation énergétique finale est divisée par 2) et fortement renouvelable.

Il s’agit de montrer à travers la description du quotidien de 16 familles vivant en 2030 et en 2050, la diversité des modes de vie possibles selon des critères de localisation, de revenus, d’organisations familiales ou encore d’âges. 

Cet ouvrage - prochainement accessible sur le site www.ademe.fr - a été présenté à la presse à l'occasion de la cérémonie des voeux de l'ADEME qui s'est déroulée aujourd'hui, mardi 28 janvier, à la Maison de l'Amérique latine (Paris 7ème). Bruno Lechevin, son président, rappelait alors que la transition énergétique n’est pas qu’une perspective de long terme. Elle se concrétise déjà aujourd’hui par de nombreuses actions impulsées par l’Agence en 2013 et au travers de ses priorités pour 2014. 

 

 Actions 2013 et priorités 2014 - Dossier de presse du 28/01/2014 (PDF - 307 Ko)

24 janvier 2014

Les résultats du 5ème appel à projets Eco-industries

Bpifrance, l’ADEME, la DGCIS (Direction générale de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services) et le CGDD (Commissariat général du Développement durable) annoncent la sélection de 8 projets collaboratifs de Recherche et Développement au service des éco-industries. Ils concernent le cycle de l’eau, les déchets, les sols pollués, la qualité de l’air et la construction durable.

La diversité et la qualité des projets collaboratifs, déposés dans le cadre d'un appel à projets coordonné par Bpifrance, témoignent de la dynamique d’innovation engagée par les entreprises et les laboratoires de recherche pour renforcer la compétitivité des éco-industries.

L’effort total d’investissement pour ces projets s’élève à 11,5 millions d’euros et le montant des aides accordées s’élève à 4,3 millions d’euros.

Les 8 projets sélectionnés :

  • ATALANTE : robot de diagnostic des bétons des ouvrages de bâtiment ou de génie civil
  • DIACOV : dispositif industriel d’abattement des composés organiques volatils
  • GISEMENT : gestion intégrée des déchets solides pour moins d’impacts sur l’environnement
  • MICROPOL : solution de traitement biologique des micro-polluants en aval des stations d’épuration
  • OSRAI : outils de surveillance pour réseau d’assainissement intelligent
  • PURE RECUP : techniques d’extraction en profondeur des solvants chlorés sur les sites pollués
  • SIMPLUV : solutions innovantes pour la maîtrise des eaux pluviales
  • ULIS : instrument de surveillance des émissions de polluants gazeux industriels

  En savoir plus

23 janvier 2014

Réseau de chaleur : quelle facture pour quel service quand on est locataire ?

Appelé également « chauffage urbain », le réseau de chaleur est un ensemble d’équipements
produisant et distribuant de la chaleur au pied de plusieurs bâtiments pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire.

Visuel Réseau Chaleur

  1. Unité de production de chaleur : usine d’incinération des ordures ménagères, chaufferie alimentée par un combustible (gaz, bois, fuel…), centrale géothermique…
  2. Réseau de distribution primaire : composé des canalisations dans lesquelles circule la chaleur. Un circuit transporte le fluide caloporteur (vapeur, eau chaude…) au pied des bâtiments raccordés, un autre ramène le fluide refroidi à l’unité de production pour qu’il soit à nouveau chauffé.
  3. Réseau de distribution secondaire : géré par le responsable de l’immeuble (le syndic en copropriété ou le bailleur social par exemple), assure la répartition de la chaleur du réseau de chaleur entre les différents logements.
  4. Sous-station : située au pied de l’immeuble, permet de transférer la chaleur du réseau primaire au réseau secondaire.
  5. Bâtiment public
  6. Immeuble de bureaux
  7. Logements collectifs
  8. Visuel Fiche Réseaux chaleurLogements individuels

Visuel flèches Réseaux chaleurDistribution de chaleur (eau chaude)

Retour de l’eau refroidie

 

Le développement des réseaux de chaleur permet notamment de réduire les émissions de gaz à effet de serre liées au chauffage. Ce peut être également intéressant sur le plan économique.

Mais il est parfois difficile pour un locataire de comprendre la méthode de facturation effectuée.

L'ADEME vous propose en une fiche, un petit tour d’horizon pour vous éclairer et vous procurer quelques conseils utiles. C'est la premiere d'une nouvelle série destinée à mieux Comprendre la réglementation .

 COMMENT S’Y RETROUVER ? Réseaux de chaleur et charges locatives

22 janvier 2014

Rénover son logement : le point sur les aides financières en 2014

Visuel Guide Aides financières 2014Maîtriser ses dépenses d’énergie passe nécessairement par une diminution des besoins de chauffage, de refroidissement et d’éclairage du logement et par l’utilisation d’équipements performants.

Pour améliorer l'efficacité énergétique de son logement, la réalisation de travaux plus ou moins importants s'avère souvent nécessaire : isolation du toit, des murs, des fenêtres et planchers, amélioration du système de chauffage…

Cette démarche apporte un triple bénéfice : un logement confortable, des économies en énergie et une valeur patrimoniale préservée voire accrue. De plus, elle permet de limiter les émissions de gaz à effet de serre qui participent au réchauffement climatique.

Une palette d’aides financières existe. Pour s'y retrouver, l'ADEME propose ici un guide actualisé.

 Les aides financières en 2014

L'ADEME partenaire du Solar Decathlon 2014, du 27 juin au 14 juillet à Versailles

Visuel Solar Decathlon 2014Créé en 2002 par le Département de l’énergie des Etats-Unis (U.S. Department of energy), le Solar Decathlon est une compétition internationale ouverte aux universités et aux grandes écoles du monde entier qui leur permet de se mesurer autour d’un défi « Concevoir et construire une maison solaire autonome en énergie ».

Elle a lieu tous les deux ans aux Etats Unis, les années impaires, sur le site du National Mall à Washington. Depuis 2010, le Solar Decathlon est également organisé en Europe toutes les années paires.

Ainsi, la compétition internationale Solar Decathlon Europe 2014 se tiendra en France du 27 juin au 14 juillet 2014 dans l’enceinte du Château de Versailles.

Solar Decathlon est depuis sa création ouverte uniquement aux universités et aux grandes écoles du monde entier. Les maisons proposées ne sont pas que de simples concepts. Elles doivent pouvoir être déclinées commercialement pour tout ou partie et s’intégrer à l’environnement du pays dont elle est issue. Les procédés inventés et mis en œuvre au sein de la maison solaire doivent pouvoir être transposés sur un plan industriel.

La finalité scientifique du Solar Decathlon est de développer la transmission des savoirs, les travaux de recherche et d’expérimentation dans le domaine des énergies renouvelables et principalement de l’énergie solaire.

Cette compétition permet également d’accroître la sensibilisation du grand public sur le logement de demain et de lui présenter les matériaux, produits et technologies qui seront utilisés pour sa réalisation.

Les Enjeux 

Le secteur du bâtiment (résidentiel et tertiaire) représente aujourd’hui un peu plus du tiers de la consommation mondiale en énergie finale. Dans l’ensemble des pays en développement, la part de sa consommation dépasse 40%. Selon le scénario de référence de l’Agence Internationale de l’Energie, la consommation d’énergie finale des bâtiments dans le monde pourrait atteindre environ 3 800 millions de tonnes équivalent pétrole (Mtep) en 2030, dont environ la moitié (1800 Mtep) proviendrait des pays en développement.

Par ailleurs, avec des émissions de gaz à effet de serre (GES) représentant environ 20% des émissions dues à la consommation d’énergie finale (hors électricité), le secteur du bâtiment contribue fortement au changement climatique. Ces émissions pourraient s’élever à près de 4 300 millions de tonnes équivalent CO2 à l’horizon 2030, dont plus de la moitié serait générée par les pays en développement.

Face à ces constats, il est impératif que l’habitat moderne puisse répondre aux nouvelles exigences énergétiques et environnementales, tout en répondant aux aspirations individuelles et collectives.

C’est tout l’enjeu du Solar Decathlon.

 Pour en savoir plus : www.solardecathlon2014.fr

Opinion: la crise relègue l'environnement au second plan

Après la forte percée des préoccupations environnementales en 2007, les préoccupations économiques reviennent sur le devant de la scène.

 

Visuel Baromètre

Pour autant, l’environnement n’a pas disparu de l’esprit des Français, qui donnent une place importante à la question du changement climatique et expriment des attentes fortes dans le domaine des économies d’énergie. Par ailleurs, ils développent de nouvelles pratiques de consommation qui pourraient avoir des incidences positives sur l’environnement.

L’ADEME dispose de données régulières sur les pratiques et l’opinion des Français au sujet des questions environnementales . Elles permettent d’observer les tendances et les évolutions des opinions et des comportements.

Le 38ème numéro de Stratégie&Études présente les principaux résultats des enquêtes effectuées en 2012 et 2013.

 Stratégie&Études N°38 (PDF - 1 Mo)

 

Les sondages d’opinion et enquêtes barométriques de l’ADEME

 

 « Les équipements et les comportements de ménages en matière de maîtrise de l’énergie dans leurs logements » : 10000 ménages par voie postale depuis 1986 (TNS Sofres pour l’ADEME).


 L’Observatoire permanent de l’amélioration énergétique du logement (OPEN). Deux types d’enquêtes sont confrontés tous les deux ans : une enquête auprès des installateurs, artisans et industriels – 1370 fabricants d’équipements, 5000 artisans et entreprises – et une enquête auprès des ménages – 10000 ménages interrogés – (Biis et CAH pour l’ADEME).


 « Les représentations sociales de l’effet de serre » : 1000 personnes par téléphone, depuis 2000 (Gfk ISL 2013 pour l’ADEME).


 « La connaissance du développement durable en 2013 » : questions insérées à la demande de l’ADEME dans la vague de juin 2013 de l’enquête permanente du Crédoc sur « les conditions de vie et les aspirations ». Ces questions s’inscrivent dans la continuité d’une enquête barométrique initiée par l’ADEME en 1995 : 2000personnes en face à face (Crédoc 2013 pour l’ADEME).


 « Les Français et les pratiques collaboratives » : 4500 personnes (IPSOS 2013 pour l’ADEME).


 Rapport des tendances à l’horizon 2017 pour l’ADEME : zoom sur l’évolution actuelle et future des valeurs et des modes de vie des Français (IPSOS 2012 pour l’ADEME).