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24 octobre 2013

L'air que l'on respire en question

« Nul n’est besoin de rappeler ici comment des mesures environnementales et sanitaires utiles ont explosé en plein vol du fait de leur caractère jugé anti-social. Pourtant, l’Angleterre, l’Allemagne ou encore le Portugal sont arrivés à mettre en place des zones de basses émissions dans de nombreuses villes… Mais nous ne désespérons pas : si les ZAPA (Zones d’Actions Prioritaires pour l’Air), n’ont pas abouti, elles ont eu le mérite de nous rappeler à quel point pédagogie et mesures d’accompagnement étaient des éléments incontournables d’acceptation des mesures par la société.» a souligné Bruno Lechevin, Président de l'ADEME, lors des 2èmes Assises nationales de la qualité de l'air qui se tiennent en ce moment à Paris. 


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En France, la pollution atmosphérique concerne directement 60% des citoyens. Les grandes métropoles sont les zones les plus concernées mais chacun peut être touché par cette problématique dans ses activités quotidiennes : transport, logement, agriculture…

Publié en septembre dernier par le Ministère de l'Ecologie, le bilan de la qualité de l’air 2012 montre une amélioration de la qualité de l’air extérieur par rapport à l’année précédente. Néanmoins de fortes disparités persistent selon la période de l’année et le territoire considérés :

  • plus de 10 % des sites de mesures de dioxyde d’azote affichent des concentrations moyennes annuelles supérieures aux valeurs limites ;
  • un événement de pollution d’ozone d’ampleur nationale a eu lieu au cours de la deuxième quinzaine du mois de juillet ;
  • dans 16 agglomérations de plus de 100 000 habitants, au moins une station de mesure a dépassé plus de 35 jours la valeur limite journalière pour les PM10. Sept stations ont même dépassé la valeur limite annuelle, à Paris et Marseille notamment. Ces dépassements sont observés sur des stations de mesures situées à proximité du trafic routier.

L’Etat français est sous la menace d’une condamnation de la Cour de Justice de l’Union Européenne. Une procédure de contentieux européen a été ouverte par la Commission européenne pour les particules « PM10 » dans plusieurs zones du territoire national. Il existe également un risque de contentieux européen pour le dioxyde d’azote (NO2).

« ...les chiffres parlent d’eux-mêmes et ce n’est donc pas uniquement par peur du gendarme européen et des contentieux en cours qu’il nous faut agir. C’est car la qualité de l’air, malgré l’ensemble des travaux et des progrès réalisés, reste un problème sanitaire et environnemental majeur et il nous faut donc poursuivre les efforts en matière de prévention et de réduction de la pollution atmosphérique. » a rappelé Bruno Lechevin.

La qualité de l’air intérieur constitue également une préoccupation sanitaire grandissante car nous passons entre 70% et 90% de notre temps dans les espaces clos.

Dans les bâtiments, les sources d’émissions de substances polluantes sont nombreuses : matériaux de construction, meubles, produits d’entretien, peinture, appareils de chauffage... Les composés se dégagent naturellement des matériaux ou sont émis via des processus de combustion.

 Lire le dossier de presse

 Les Assises nationales en replay

Lors de ces 2èmes Assises nationales de la qualité de l'air , l'ADEME a souhaité diffuser un film d'animation - intitulé « On ne badine pas avec l'Aérosol » et réalisé par Fanny Mazoyer, Alexie Heimburger et Gaultier Durhin - permettant de mieux comprendre ce que sont les particules, leurs rôles et leurs effets sur la santé

 

Les 2èmes Assises nationales de la qualité de l'air réunissent élus locaux, représentants de l’État, partenaires européens, fédérations professionnelles (transports, bâtiment), associations de citoyens, professionnels de santé, universitaires...

L'événement est l'occasion d'aborder les points suivants :

  • Quelles actions déjà menées pour améliorer la qualité de l’air, et comment partager les retours d’expérience ?
  • Quelles sont les conditions de réussite d’une action efficace en faveur de la qualité de l’air ?
  • Comment mobiliser les différents acteurs, et articuler leurs rôles ?

A noter parmi les temps forts de ces deux journées, l'intervention de l’OMS sur "Pollution atmosphérique et cancer".

21 octobre 2013

Innovation : l'Etat finance une nouvelle génération de navires

Logo des Investissemnts d'avenirSur un marché très concurrentiel à l’international, le secteur français de la construction navale tire son épingle du jeu, se plaçant au 6ème rang mondial. Les services écologiques représentent les nouveaux contours de la société de demain, comme de ce secteur d’activités, et l’une des priorités de la politique industrielle de la France.

Dans le cadre du Programme des Investissements d’Avenir, l’État avait lancé en juillet 2011 un premier Appel à Manifestations d’Intérêt (AMI). Six projets lauréats sont désormais soutenus par l’ADEME. 

Un deuxième AMI est aujourd’hui ouvert. L’ambition est de permettre aux filières maritimes, fluviales et de plaisance de relever des défis importants, notamment environnementaux, et ainsi gagner en compétitivité.

Ce nouvel appel à manifestations d’intérêt (AMI) s’inscrit dans le cadre de l’action des investissements d‘avenir dédiée au navire du futur et dotée de 100 M€ pour développer des navires plus économes en énergie, plus propres et plus sûrs. 

Six projets lauréats sont d’ores et déjà financés par l’Etat parmi lesquels :  

Navalis

ARPEGE propose un concept de navire de pêche particulièrement performant en termes de consommation de carburant;

AUTOPROTECTION développe une réponse innovante aux risques de piraterie maritime; 

NAVALIS et WINDKEEPER se positionnent comme des solutions modernes de maintenance des installations éoliennes offshore.

 En savoir plus sur l'AMI Navires du Futur: édition 2013 et ses modalités

Notre communiqué de presse du 21/10/2013 (PDF - 232 Ko)

 En savoir plus sur le projet ARPEGE

 En savoir plus sur le projet AUTOPROTECTION

 En savoir plus sur le projet NAVALIS

 En savoir plus sur le projet WINDKEEPER

Une campagne d’information en faveur de la rénovation énergétique des logements

Jecorenove_jeconomiseLe ministère de l’Égalité des territoires et du Logement et le ministère de l’Écologie lancent aujourd’hui une grande campagne de communication pour faire connaître aux Français « J’éco-rénove, j’économise », le dispositif d’aide à la rénovation énergétique des logements.

Pour inciter les particuliers à engager des travaux de rénovation énergétique de leur logement et les aider dans leurs démarches, le Gouvernement a mis en place le dispositif « J’éco-rénove, j’économise », qui est opérationnel depuis début septembre. Ce dispositif d’accompagnement et de conseil repose sur un numéro de téléphone unique national (0810 140 240), un site Internet (renovation-info-service.gouv.fr) et plus de 450 « points rénovation info service » (Pris) répartis sur l’ensemble du territoire.

Il s’inscrit dans le cadre du plan de rénovation énergétique de l’habitat qui répond à l’engagement du président de la République de rénover 500 000 logements par an d’ici à 2017 et ainsi de diminuer de 38 % la consommation d’énergie dans le secteur du bâtiment à horizon 2020.

« J’éco-rénove, j’économise » s’appuie sur un partenariat avec l’ADEME, l’Anah (Agence nationale de l'habitat) et l’Anil (Agence nationale pour l'information sur le logement), ainsi que sur les actions déjà mises en place dans les territoires par les collectivités locales.

La campagne de communication, conçue par les agences Lowe Strateus et CLMBBDO, se déroulera en plusieurs temps:

  • un spot télévisé (30'') qui sera diffusé du 21 octobre au 8 novembre 2013 sur les chaînes hertziennes et TNT,
  • une campagne radio nationale qui se déroulera du 4 au 20 novembre,
  • une importante déclinaison Web jusqu’à la fin de l’année.

  Le site renovation-info-service.gouv.fr

  Dispositif j'éco-rénove, j'économise 

16 octobre 2013

Le gaspillage alimentaire n'est pas une fatalité !

Affiche GaspillageAujourd'hui s'est déroulée partout en France la Journée nationale contre le gaspillage alimentaire, une journée pour sensibiliser l’ensemble des ménages français à ce fléau qui gagne du terrain chaque année.

Le gaspillage alimentaire, c'est sept millions de tonnes de déchets jetés tout au long de la chaîne alimentaire en France.

Dans le monde, près de 1,6 milliard de tonnes de produits alimentaires sont perdus chaque année, soit un tiers de ce qui est produit… un véritable gâchis qui coûte chaque année à la planète l'équivalent de trois fois le lac Léman en eau gaspillée et qui occupe inutilement un tiers de sa surface agricole.

Selon le rapport de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) : l'empreinte carbone de la nourriture produite mais jamais consommée est estimée à 3,3 milliards de tonnes de CO2. Un chiffre qui représente à peu près la moitié des émissions de gaz à effet de serre des Etats-Unis ou de la Chine.

Toujours selon la FAO, 54 % des pertes sont enregistrées dans les phases de production, de récoltes et de stockage. Le reste relève du gaspillage alimentaire propre qui en France se quantifie de la manière suivante : 7 kilos d'aliments non consommés et encore emballés par habitant et par an. A ce chiffre s'ajoutent les restes de repas, fruits et légumes abîmés, pain... soit près de 13 kg/habitant/an. Le gaspillage alimentaire représente ainsi près de 20 kg/habitant/an.

Les enjeux écologiques et économiques sont bien connus. A Londres par exemple, le WRAP (Waste & Resources Action Programme), initiative à but non lucratif, a notamment lancé une campagne de prévention dans le cadre du programme Recycle for London, afin de faire diminuer le gaspillage alimentaire. Un 1er bilan particulièrement satisfaisant :

  • 14 % de déchets alimentaires en moins, en 6 mois de campagne dans la partie Ouest de Londres ; soit une économie évaluée à près de 1,5 millions d’euros € en coûts de traitement de déchet; 
  • un bon retour sur investissement puisque le coût de la campagne était lui de 200 K€, soit 0,30€ par ménage;
  • cette campagne a permis de diminuer d’environ 400g le poids des déchets par ménage et par semaine.  

Pour en savoir plus sur le gaspillage alimentaire :

 Le guide du CLCV

 Les conseils de l'ADEME

 Un avenir sans faim : les pertes alimentaires ne sont pas une fatalité !

Energy Efficiency Policies : new solutions must be invented to reverse the recent decrease

Bannière WEC
Long considered simply as an "option" in the OECD (Organization for Economic Co-operation and Development) countries, energy efficiency is spreading, with notable progress in all major regions of the world. The experience gained by the OECD countries benefits so-called emerging countries, as demonstrated by the study of energy efficiency in the world conducted by ADEME for the World Energy Council.

A relative international consensus is emerging. It sees energy efficiency as a beneficial strategy for each stakeholder: reducing dependence on energy imports, reducing emissions of greenhouse gas emissions related to energy, preserving the competitiveness of companies and household purchasing power, etc.

This good news appears to be an illusion, however, with a general decrease in energy efficiency over the recent years. Regional disparities remain and new solutions must be found to take the reality of each country into account and thus move to the next level.

 ADEME-WEC Press Release 10/16/2013 (PDF - 322 Ko)

 Energy Efficiency Policies: what works and what does not (PDF - 2,2Mo)

 22nd World Energy Congress

15 octobre 2013

Les 7èmes Rencontres de la Performance Energétique, c'est aujourd'hui !

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Chaque année, 1 million de logement à rénover ou construire, des millions de m2 de bureaux et de bâtiments publics à réhabiliter, les objectifs de l'État en termes de performance énergétique sont véritablement ambitieux. Pour les investisseurs, concepteurs et entrepreneurs, ils constituent autant d'opportunités d'activité salutaire en cette période de morosité économique. Car les objectifs fixés par le chef de l'État lors du lancement du débat sur la transition énergétique ne sont pas des voeux pieux. Ils s'accompagnent d'une série de mesures réglementaires, lois, décrets ou ordonnances, qui tout au long de l'année vont se succéder.

Les 7èmes Rencontres de la Performance Energétique traceront un bilan de ces différentes mesures et particulièrement celles concernant des moteurs indispensables au grand marché de la rénovation énergétique : les outils de financements et le dispositif rénovation-info-service pour l'assistance aux particuliers.

Fidèles à leur approche pragmatique de la performance énergétique, les Rencontres 2013 feront une nouvelle fois la part belle aux retours d'expérience. Et nos débats vous apporteront des informations sur les évolutions des mesures prises par l'État et sur leur application concrète dans vos activités professionnelles.

Retrouvez l'ensemble du programme et des informations concernant les 7èmes Rencontres de la Performance Energétique dans le RPE Magazine 2013 :

 RPE Magazine 2013 (PDF - 4,1 Mo)

Une charte Développement durable chez les distributeurs-grossistes en boissons

Logo FNBLa Fédération Nationale des Boissons souhaite que les entreprises qui la composent puissent maintenir leur compétitivité tout en préservant l’environnement.

La charte Développement durable, définissant l’ambition et la ligne de conduite de la profession, fixe à la fois des engagements sur le long terme et des actions concrètes mises en oeuvre sur le court ou le moyen terme, dans la continuité de celles déjà menées depuis plusieurs années par ses membres qui comptent aujourd'hui 500 entreprises soit près de 10000 salariés. 

"En revisitant votre cœur de métier, vous vous mettez en capacité d’innover, de rebondir sur ce qui initialement pouvait paraitre comme des contraintes." se félicitait Bruno Lechevin, Président de l'ADEME, ce matin lors de la présentation de la charte par la FNB.

Pour favoriser l’adhésion du plus grand nombre, la FNB propose différentes actions en lien avec les engagements définis ci-après et préconise à chacun de rédiger sa propre charte, ou rapport d’activités, illustrant leurs choix en matière de développement durable. Pour valoriser l’avancée collective ainsi initiée au sein de la profession et en faire la promotion, la FNB demande aux signataires de cette charte de lui faire part régulièrement des initiatives mises en place au sein de leurs entreprises. Dans le cadre d’une politique proactive et volontaire, la FNB propose à ses membres d’articuler leurs efforts en matière de développement durable autour de :

Engagements

 FNB-Charte Développement durable (PDF - 5,1 Mo)

10 octobre 2013

« CoachCopro® » : tout sur la rénovation énergétique en copropriété

Logo CoachCoproLe CoachCopro® est un nouveau service gratuit et indépendant dédié à la rénovation énergétique en copropriété.

Cette plateforme, gérée par l'Agence Parisienne du Climat (APC) et soutenue par l'ADEME Ile de France, a l'ambition d'accompagner de A à Z les copropriétaires dans leur projet de rénovation énergétique.

Logo apcLe CoachCopro®, c’est :

  • un parcours personnalisé pour votre projet,
  • un tableau de bord commun à tous les copropriétaires de votre immeuble,
  • le suivi et l’archivage de vos consommations,
  • la suggestion d’aides financières adaptées,
  • l’assistance d’un conseiller Info-Energie en cas de besoin.

Pour bénéficier des outils et des fonctionnalités mis à votre disposition, inscrivez gratuitement votre copropriété sur le CoachCopro®

Son lancement sera officialisé lors d'une conférence de presse qui se tiendra le mardi 15 octobre 2013, de 11h00 à 12h00, à l’Agence Parisienne du Climat en présence de :

  • René Dutrey, Adjoint au Maire de Paris, chargé du Développement durable, de l'Environnement, du Plan Climat et Président de l’APC,
  • Anne Ged, Directrice de l’APC,
  • Joëlle Colosio, Directrice régionale Ile-de-France de l’ADEME.

Contacts :

  • Gerald Siegl, Service presse Direction régionale Ile-de-France de l’ADEME / [email protected] / 01 49 09 25 36
  • Cécile Gruber, responsable information et communication de l’APC / [email protected] / 01 58 51 90 22

 Pour en savoir plus sur la rénovation en copropriété

09 octobre 2013

PM10 + PM2,5 + NO2 + NOx + COV = 42 000 décès par an !

Couv A&V N°69Elles sont invisibles, inodores et constituent une réelle menace pour la santé : les particules fines en suspension dans l’atmosphère pénètrent en effet profondément dans l’appareil respiratoire et peuvent passer dans le sang. Les PM10 et PM2,5 (PM pour «particulate matter » en anglais) correspondent aux particules dont le diamètre est inférieur respectivement à 10μm et 2,5μm. 

Les particules fines observées dans les zones urbaines en France sont en grande partie issues des activités humaines comme le transport, l’industrie, le chauffage au bois individuel, le brûlage à l’air libre des déchets verts, l’agriculture…

Dans neuf grandes villes françaises, l’espérance de vie pourrait augmenter de 3,6 à 7,5 mois selon la ville si les concentrations moyennes annuelles de PM2,5 respectaient la valeur guide de l’OMS (10μg/m3). Le bénéfice économique associé est estimé à près de 5 milliards d’euros par an.

Mais les PM10 et PM2,5 ne sont pas les seules à avoir un impact sur la santé : le NO2 (dioxyde d’azote) et l’ozone contribuent également à la dégradation de la qualité de l’air.

Responsable de 42 000 décès prématurés par an en France, la pollution atmosphérique représente un enjeu sanitaire et environnemental incontournable. C'est le dossier qu'a choisi de traiter ce mois-ci, le 69ème numéro de ADEME&Vous alors que l'ADEME organise les 23 et 24 octobre prochains, avec le Ministère de l'Ecologie, les 2èmes assises nationales de la Qualité de l'air à la Cité des Sciences et de l'Industrie à Paris. 

Ces journées s'adressent aux élus locaux, régionaux, nationaux, représentants de l’administration, de l’Etat et des collectivités territoriales, partenaires européens, syndicats, fédérations professionnelles (bâtiments, transports ...) associations de citoyens, entreprises, monde agricole, bureaux d’études, chercheurs, professionnels de santé, universitaires ... tous sont concernés, tous doivent aujourd'hui se mobiliser pour améliorer la qualité de l'air que l'on respire

 ADEME&Vous N°69 (PDF - 2,8 Mo)

 La qualité de notre air, c'est l'affaire de tous !

 La qualité de l'air dans nos villes

Du 17 au 20 octobre, on fête l'énergie !

Affiche FdE 2013Rendez-vous annuel national de la rénovation et de la maîtrise de l’énergie, la 4ème édition de la Fête de l’Energie se déroulera cette année du 17 au 20 octobre 2013.

Des centaines de rendez-vous et d’animations orchestrés par les Espaces Infos→Energie, membres du « réseau-rénovation-info service », sont au programme dans chaque région : visites de bâtiments rénovés en basse consommation, ateliers pratiques sur la rénovation, sensibilisation par la découverte de chantiers, nombreuses conférences et débats sur la rénovation énergétique, expositions… Durant quatre jours, le grand public pourra affiner ses connaissances, échanger avec ceux qui se sont déjà lancés dans la réalisation de travaux de rénovation et rencontrer des experts en la matière.

Cet évènement participe à une meilleure information du particulier sur les solutions lui permettant de réduire ses consommations d’énergie. Il s’inscrit dans le cadre de la campagne de communication gouvernementale « J’éco-rénove, j’économise » mise en place pour inciter les Français à rénover leur logement.

Toute l’année, le « réseau-rénovation-info service » accompagne les Français dans leur projet de rénovation thermique. Ce « service public de la rénovation énergétique » est désormais accessible via un numéro de téléphone unique national (le 0810 140 240), un site Internet (www.renovation-info-service.gouv.fr) et plus de 450 « Points rénovation info service » (PRIS) répartis sur l’ensemble du territoire et dont les Espaces Infos→Energie font aujourd'hui partie intégrante. 

Pour découvrir le programme de la Fête de l’Energie dans votre région, rendez-vous sur www.renovation-info-service.gouv.fr/fete-de-l-energie (rubrique « Ca bouge près de chez vous »).

 Notre Info Presse du 09/10/2013 (PDF - 2Mo)