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228 posts categorized "Consommation & déchets"

16 décembre 2013

Les dates limites de consommation - Enquête de la CLCV

CLCVDate limite de consommation (DLC), date limite d’utilisation optimale (DLUO), la distinction entre ces dates présentes sur les denrées alimentaires est souvent mal comprise des consommateurs, ce qui peut générer des risques sanitaires ou du gaspillage. C’est ce que montre la récente enquête réalisée par la CLCV dans le cadre de son partenariat avec l’ADEME sur la consommation durable.

Selon l’étude menée auprès de 2 584 personnes, la grande majorité des consommateurs se base sur leur expérience et leur connaissance des produits pour décider de consommer ou de jeter un produit dont la DLC ou la DLUO est dépassée. Ainsi, ils sont nombreux à consommer des produits qui, au sens de la réglementation, sont périmés depuis plusieurs jours, tout en jetant des denrées encore consommables.

Les consommateurs sont pourtant particulièrement attentifs aux dates limites des produits alimentaires réputés fragiles lorsqu’ils font leurs courses. Ainsi, près de 75 % des sondés déclarent regarder systématiquement la date de péremption lorsqu’ils achètent des yaourts ou du jambon. A l’inverse, pour les denrées non périssables, la date n’est pas perçue comme une information essentielle.

Dans certains cas, l’information fournie par les dates paraît mal comprise et mal utilisée. Ainsi :

  • plus de 43 % des sondés déclarent jeter une boîte de raviolis en conserve lorsque la DLUO est dépassée de trois semaines. 30 % pensent même qu’il y a un risque d’intoxication. Pourtant, la date n’est ici qu’indicative et le produit est encore parfaitement consommable ;
  • plus de 80 % des sondés mangent un yaourt nature dont la DLC est dépassée de trois jours. À plus de 3 semaines, ils sont encore plus de 21 % à consommer ce laitage. En théorie, la DLC doit être respectée scrupuleusement pour des raisons sanitaires ;
  • plus de la moitié des sondés jettent, en revanche, un steak haché dont la DLC est dépassée de 3 jours. Les consommateurs apparaissent davantage sensibilisés aux risques sanitaires associés à ces produits.

La CLCV recommande un effort de pédagogie pour mieux sensibiliser et informer le consommateur et ainsi, réduire, notamment, le gaspillage alimentaire.

 Consulter l'enquête détaillée

 Stop au gaspillage: les conseils de l'ADEME

Agriculture : les 10 actions les plus efficaces pour réduire les émissions d'ammoniac

Bajstock.comL'ammoniac (NH3) est un polluant atmosphérique qui participe à la formation de particules fines et favorise l'acidification et l'eutrophisation des milieux. La France est le pays de l’Union Européenne qui émet le plus d’ammoniac (NH3) dans l'atmosphère.

Générées presqu'en totalité par le secteur agricole (97% des émissions nationales) et en particulier l'élevage (75% des émissions nationales) les émissions d'ammoniac constituent une perte d'azote pour les exploitations agricoles.

Une directive européenne - la directive IED - impose à certains élevages avicoles et porcins d'appliquer les meilleures techniques disponibles pour réduire leurs émissions.

Depuis plusieurs années, l’élevage s'est engagé dans la réduction des émissions d’azote, dont l’ammoniac, via notamment l’optimisation de l’alimentation animale (volailles et porcins), l’amélioration de la gestion des effluents et leur valorisation agronomique.

C'est dans ce contexte que l’ADEME a chargé le consortium formé du CITEPA, de l’Institut de l’Elevage (Idele), l’IFIP-Institut du Porc et l’ITAVI d'identifier 10 actions ayant le meilleur rapport coût-efficacité pour réduire les émissions d'ammoniac à l’échelle de la France aux horizons 2020 et 2030. Elle rend aujourd'hui publique son étude prospective.

 Synthèse de l'étude Analyse du potentiel de 10 actions de réduction des émissions d'ammoniac des élevages français aux horizons 2020 et 2030 (PDF 378 k)

Cette étude complète le travail réalisé par l'ADEME et l'INRA sur les actions de réduction des émissions de gaz à effet de serre du secteur agricole.

 Dix pistes pour réduire l'impact de l'agriculture sur le climat

11 décembre 2013

Fêtes de fin d'année : ce qu'il faut savoir

Cadeaux, repas, décorations,… ce sont les incontournables de Noël ! Chaque fin d'année, à l'occasion des fêtes, l'ADEME propose sur son site quelques informations bonnes à savoir lorsque l'on souhaite garder un oeil sur ses consommations - énergétiques bien sûr mais aussi et plus largement liées aux achats de Noël - et leurs impacts sur l'environnement. 

Par exemple...

Avez-vous une idée de la consommation électrique d’une maison et d’un jardin richement décorés ?

Bajstock.comVoici un bref calcul :

  • 1 guirlande à LED dans le sapin de 4 W ;
  • 1 guirlande avec mini-ampoules dans le sapin de 50 W ;
  • 2 guirlandes extérieures « stalactites » à LED de 12 W ;
  • 1 guirlande tube à LED de 9 mètres de long de 147 W ;
  • 1 animal décoratif à LED à poser de 25 W ;
  • 1 sapin décoratif à LED à poser de 20 W ;
  • 1 décor « Père Noël » à poser de 25 W ;
  • 3 décors de fenêtre à LED de 12 W chacun.

Au total, ces illuminations ont une puissance de 331 W.

En restant allumées 4 heures par jour pendant 30 jours, ces décorations lumineuses consomment 39,7 kWh. Pendant la période des fêtes, elles représentent ainsi à elles seules la consommation d’un mois et demi d’éclairage du logement.

Des illuminations qui fonctionnent toute la nuit, c'est-à-dire des guirlandes allumées 12 heures, par oubli ou autres, et ce, à raison de 10 nuits, la consommation passe alors à 66,2 kWh, ce qui représente la consommation de 3 mois d’éclairage du logement.

 Toutes ces infos sur l'Espace Eco-citoyens de notre site

L'ADEME accueille sa nouvelle Directrice Exécutive Programmes

Marie_Christine Premartin_ADEMEMarie-Christine PREMARTIN rejoint l’ADEME en qualité de Directrice Exécutive Programmes. Elle est chargée de définir et de mettre en œuvre les orientations stratégiques de l’Agence dans les domaines des déchets, des sols pollués et des friches urbaines, de l’énergie et du climat, de l’air et du bruit; mais aussi de domaines plus transverses tels que la production et la consommation durables ainsi que les villes et les territoires durables.

Elle pilote et anime ainsi 3 directions : Consommation Durable et Déchets, Production et Energies Durables, Villes et Territoires Durables, mais aussi le service Climat directement rattaché à sa Direction.

Depuis 2009, Marie-Christine PREMARTIN était Directrice générale adjointe en charge du Pôle Aménagement et Développement durable au Conseil Général de Seine-Saint-Denis. Ses missions couvraient principalement l'aménagement et le développement urbain et économique, la voirie, les déplacements et les transports, l’environnement, l’écologie urbaine, l’eau et l’assainissement.

Agée de 55 ans, Marie-Christine PREMARTIN est ingénieure en chef des Ponts, des Eaux et des Forêts.

04 décembre 2013

Les véhicules hors d'usage (VHU) : les données 2012

Visuel CollectionEnviron 2,3 millions de véhicules ont été mis sur le marché en 2012 dont 83 % sont des véhicules particuliers. Plus de 1,2 million de véhicules hors d’usage (VHU) ont été pris en charge par la filière agréée en 2012, soit – 20 % par rapport à 2011 (fin de l'effet « prime à la casse »).

Cependant, l’orientation vers la filière agréée a été améliorée depuis 2007 (+28 %), d'autant plus que des actions ministérielles envers les centres non agréés vont se multiplier afin de régulariser leur situation.

L'ADEME propose dans le cadre de sa collection Repères une synthèse dressant le panorama de la filière des véhicules hors d’usage pour l’année 2012. 

 Automobiles - Données 2012

Les impacts sur l'environnement des véhicules électriques et thermiques

Face aux défis globaux tels que le changement climatique ou la dépendance énergétique, mais aussi aux défis locaux tels que l’amélioration de la qualité de l’air en ville, le véhicule électrique peut présenter un réel intérêt. Des constructeurs automobiles mondiaux ont commencé à commercialiser ces nouveaux véhicules et les gouvernements proposent des dispositifs incitatifs pour développer la filière.

Dans ce contexte, l’ADEME a commandé une étude pour établir une comparaison des bilans environnementaux – bilans énergétiques, d’émissions de gaz à effet de serre et autres impacts – des véhicules électriques (VE) et des véhicules thermiques essence et diesel (véhicule particulier de type citadine polyvalente et véhicule utilitaire léger) sur l’ensemble de leur cycle de vie (ACV).

Périmètre de l'étude

Pour rendre compte des perspectives d’évolution technologique, deux horizons temporels ont été considérés : 2012 et 2020.

L’unité de référence retenue pour cette étude est la mise à disposition sur des trajets inférieurs à 80 km par jour et pendant une durée de vie de 150 000 km :

  • d’une « citadine polyvalente » pour le transport de personnes (jusqu’à 4 ou 5 personnes) ;
  • d’un « utilitaire léger » pour le transport de marchandises (3,3 m3).

Il est considéré que les véhicules et batteries étudiés sont produits sur le territoire métropolitain français. Ils sont utilisés en France et en Europe, ce qui permet d’évaluer l’impact des différents mix électriques européens.

Le cas d’une production d'électricité faiblement émettrice de gaz à effet de serre, comme en France, et celui d’une production plus « carbonée », d’un pays comme l’Allemagne, ont été étudiés.

L'analyse de cycle de vie compare les bilans du véhicule électrique et du véhicule thermique essence et diesel en matière de consommation d’énergie primaire, d’impact sur le changement climatique, d’épuisement des ressources fossiles, d’acidification atmosphérique, d’eutrophisation de l’eau et de création d’ozone photochimique.

Les déchets et émissions radioactifs produits sont également évoqués dans le rapport et un second volet de l’étude traite d’impacts locaux tels que la pollution atmosphérique et le bruit en phase d’usage.

L’étude couvre l’ensemble du cycle de vie des véhicules et batteries mais pas la construction des infrastructures (de distribution de carburant et de recharge des véhicules électriques).

Enfin, différents scénarios, faisant varier la composition de la batterie, sa durée de vie, sa densité énergétique, son pays de fabrication ainsi que la consommation énergétique en phase d'usage selon le comportement du conducteur ont été étudiés.

 Notre communiqué du 04/12/2013 (PDF - 284 Ko)

 L'étude complète et sa synthèse

03 décembre 2013

Prix Entreprises & Environnement 2013 : 17 entreprises récompensées

Visuel Prix E&ELes Prix Entreprises & Environnement 2013, remis aujourd’hui lors du Salon Pollutec Horizons récompensent chaque année et depuis plus de 25 ans des entreprises ayant à leur actif des réalisations remarquables dans les domaines de l’environnement et du développement durable.

Cette année, ils confirment l’intérêt croissant porté par les entreprises pour la préservation de l’environnement et le développement durable, et plus largement pour l’innovation.

 Dossier de presse du 03/12/2013 (PDF - 994 Ko)

 Les lauréats en vidéo

 En savoir plus sur les Prix Entreprises & Environnement

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28 novembre 2013

A ne pas manquer en décembre

L’événement : Pollutec Horizons, le salon des écotechnologies (du 3 au 6 décembre)

Visuel Pollutec

Partenaire du Salon Pollutec depuis 20 ans, l’ADEME sera de nouveau présente cette année, du 3 au 6 décembre au Parc des Expositions de Villepinte.

Le Salon est aujourd’hui une référence en matière d’écotechnologies, d’énergie et de développement durable. La Ville Durable sera notamment à l’honneur pour cette édition parisienne.

L’ADEME vous accueillera sur deux stands : un espace « Expertise » dédié aux conseils et à la recherche d’informations d’une part (Hall 6 – Stand K02), le stand du Club ADEME International d’autre part (Hall 6 – Stand K022). Ce dernier accueillera 8 entreprises membres du Club et co-exposantes ; de nombreuses délégations internationales y seront reçues. Parallèlement, 32 mini-conférences seront organisées sur les espaces Forums du Salon.

Enfin, l’ADEME remettra 4 Prix :

  • Mardi 3 décembre à 12h : le Prix Entreprises et Environnement, avec le Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie ;
  • Mardi 3 décembre à 16h : le 18ème Prix des Techniques Innovantes pour l’Environnement ;
  • Jeudi 5 décembre à 16h : le Concours de courts métrages CLER-Obscur dont l’ADEME est partenaire ;
  • Vendredi 6 décembre à 12h30 : les Trophées de l’export des éco-entreprises, remis par le Club ADEME International, UBIFRANCE et BPIFrance.

 En savoir plus sur l'édition 2013 du Salon Pollutec Horizons

 Sur @ademe, vivez en direct les premières heures de l'édition 2013

 

L’actu en régions : EnerGaïa, le salon international des énergies renouvelables à Montpellier (du 4 au 6 décembre)

Visuel Energaïa

Territoires performants, éco-construction, éco-mobilité, auto consommation : la 7ème édition du Salon EnerGaïa abordera ces quatre thématiques phares pour permettre à tous les publics (collectivités territoriales, concepteurs de projets, fabricants, opérateurs, distributeurs, installateurs issus essentiellement de France et des pays du bassin méditerranéen) d’avoir une vue d’ensemble des champs d’applications des énergies renouvelables.

Techniciens le mercredi, collectivités le jeudi, prescripteurs et concepteurs le vendredi : à chaque journée, son public cible et son programme de conférences dédiées. L’ADEME participera à plusieurs d’entre elles :

  • Mercredi 4 décembre à 11h30 : « RGE : enjeux et exigences » ;
  • Jeudi 5 décembre à 10h : « La filière bois énergie régionale en Languedoc-Roussillon : état des lieux et perspectives à 2 ans », puis à 15h : « La rénovation énergétique des bâtiments, un enjeu environnemental et économique majeur pour le Languedoc-Roussillon » ;
  • Vendredi 6 décembre à 9h30 : « Nouvelles technologies de production de chaleur renouvelable : appel à projets et accompagnement ».

 En savoir plus sur l'édition 2013 du Salon Energaïa

27 novembre 2013

Publicité et Environnement font-ils bon ménage ?

Visuel Bilan ARPP 2012Le 6ème Rapport d’études « Publicité & Environnement » / Bilan 2012 a été révélé aujourd'hui par l'Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité (ARPP) et l’ADEME

L’étude a été réalisée entre le 1er septembre et le 31 décembre 2012 : 11 secteurs ont été examinés (l’agriculture-jardinage, l’alimentation, l’ameublement-décoration, les appareils ménagers, l’automobile transport, les bâtiments et travaux publics, les boissons, l’entretien, l’énergie, l’hygiène et la beauté, l’immobilier).

Les médias contrôlés sont les bannières internet et la presse (à l’exception de la presse régionale et professionnelle).

A retenir 

92% des publicités sur les 11 297 étudiées en 2012, sont conformes aux recommandations déontologiques en matière de développement durable de l’Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité (ARPP). Ce taux de conformité est le meilleur atteint en 6 ans.

Ce 6ème bilan, réalisé conjointement comme les précédents par l’ADEME et l’ARPP, témoigne de la stabilité du nombre de publicités ayant recours à un argument environnemental (3,5% en 2012, 3% en 2011). Les quelques manquements relevés - 21 messages - correspondent à 5% des publicités relatives à l’environnement, comme au cours du précédent bilan.

La communication du développement durable est entrée dans l’ère de la maturité, les règles appliquées en France attestent d’une certaine exigence, veillons cependant à ne pas entraver les communications vertueuses.

 « Publicité & Environnement » / Bilan 2012

26 novembre 2013

Marketing : quand le « durable » devient source d'inspiration

De nombreuses entreprises (PME ou multinationales) appréhendent le développement durable comme une véritable opportunité et cherchent à l’intégrer dans leur stratégie globale.

Il s’agit à la fois de minimiser les impacts sociaux et environnementaux associés à la fabrication, à l’utilisation et à la fin de vie de leurs produits et services et d’entraîner avec elles l’ensemble de leur écosystème (clients, fournisseurs, collaborateurs internes…).

Le marketing joue ici un rôle crucial puisque la créativité des équipes et la puissance de leurs outils peut aider à transformer l’offre, à changer les attitudes des clients et, in fine, à améliorer l’adéquation entre l’offre et la demande.

Ainsi, le développement durable devient une source d’inspiration et d’innovation technologique et sociale, avec une finalité inchangée : créer de la valeur pour l’entreprise (à travers l’augmentation des ventes et l’amélioration de l’image) et pour les parties prenantes.

Pour y parvenir, la diffusion et la valorisation des bonnes pratiques, le développement de l’offre de formation initiale et continue et la poursuite de la sensibilisation du grand public apparaissent comme des pistes d’actions intéressantes, auxquelles l’ensemble des acteurs (professionnels, experts, formateurs, fédérations, institutions…) sont appelés à participer.

 L'étude ADEME sur le marketing responsable (PDF - 2 Mo)

Le marketing responsable en pratique

La plateforme digitale Reussir-avec-un-marketing-responsable.org met à disposition des fiches pratiques proposées par des marques qui ont réussi : elles y analysent l’impact environnemental et/ou social, l’impact sur la marque, les clefs de succès de leurs démarches…

A ce jour, une vingtaine de fiches sont en ligne et nous enseignent que ces pratiques de marketing, au-delà de leur impact environnemental ou social, peuvent être de véritables sources de valeur pour les marques :

  • réduction des coûts : certains efforts d’écoconception se sont avérés payants. On note, pour l’un, une réduction des coûts de transports de 50%, pour l’autre, une réduction des achats de PET de 4 000 T par an…
  • différenciation stratégique et gain de PDM : les marques qui ont intégré une dimension plus écologique à leurs produits nous font part de gain de PDM de l’ordre de 0,5 à 3 points, le palmarès revenant à un produit qui est passé d’une décroissance valeur de - 7pts à une croissance de + 9% en un an.
  • référencement et visibilité : certaines marques ont pu être référencées auprès de nouveaux distributeurs grâce à leurs efforts environnementaux, d’autres ont eu des retombées presse importantes suite à la mise en place de leur démarche (jusque 260 retombées).
  • relation avec les salariés et partenaires : de nombreuses marques notent la fierté des salariés ou des relations enrichies avec leurs fournisseurs.

Le site regroupe également les ressources utiles existantes en matière de marketing responsable : études, livres, sites web… qui permettront de nourrir les marketeurs souhaitant en savoir plus.

La plateforme digitale Reussir-avec-un-marketing-responsable.org a été conçue à l’initiative d’Elizabeth Pastore-Reiss, Ethicity (Groupe Greenflex), et David Garbous, personnalité marketing de l’année 2012, avec le soutien de l’ADEME, en partenariat avec l’UDA (Union des annonceurs), Prodimarques et l’Adetem (Association des professionnels du marketing).

 www.reussir-avec-un-marketing-responsable.org

 Notre communiqué du 26/11/2013 (PDF - 408 Ko)