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08 octobre 2013

Premier colloque « Bilans Emissions de Gaz à Effet de Serre »

Beges

Dans le cadre du protocole de Kyoto, la France s’est engagée à réduire ses émissions en les divisant par 4 d’ici 2050. Or, l’une des conditions du succès réside dans la bonne compréhension de ce que représentent ces émissions pour chaque secteur d’activité. L’hexagone est d’ailleurs en pointe sur le développement de méthodes de comptabilisation des gaz à effet de serre et s’affirme comme l’un des pays les plus dynamiques en la matière sur le plan international.

Depuis le 31 décembre 2012, les collectivités de plus de 50 000 habitants, les établissements publics de plus de 250 agents et les entreprises de plus de 500 employés doivent réaliser un bilan de leurs émissions de GES.

L’ADEME organise aujourd’hui et demain le premier colloque sur les Bilans Gaz à effet de serre. Plénières et ateliers proposent pendant deux jours de croiser les expériences, soulever les débats, positionner les enjeux, capitaliser et partager les bonnes pratiques sur le carbone.

C’est notamment l’occasion pour l’ADEME et ses partenaires de valoriser plusieurs travaux sur le sujet :

  • les résultats du premier état des lieux, mené par l’association 2° Investing Initiative, des méthodes d’évaluation des « émissions carbone financées », c’est-à-dire les émissions de gaz à effet de serre générées par le secteur de la finance à travers la détention d’actifs financiers tels que les actions, obligations, lignes de crédit.

  • la présentation, par le secteur de la grande distribution, d’un guide sectoriel pour la réalisation de Bilans d’Émissions de Gaz à Effet de Serre. Le retour d’expérience conduit en 2011 et 2012 par PERIFEM (l’association technique du commerce et de la distribution) a permis d’identifier les objectifs, les contenus et les évolutions des démarches d’évaluation engagées par les entreprises de la grande distribution. Le guide sectoriel s’inscrit dans la continuité de ces travaux, avec, notamment, le partage d’expériences des groupes Casino, Carrefour et Oxylane.

Ce guide rejoint la liste des 13 autres guides sectoriels qu’accompagne l’ADEME depuis 2007, avec l’aide d’acteurs volontaires, pour la réalisation de Bilans d’Émissions de Gaz à Effet de Serre.

 Retrouvez les guides sectoriels sur le centre de ressources GES

 Communiqué de presse de l'association 2° Investing du 08/10/2013   (PDF - 494 Ko)

Un rapport de l'ADEME sur l'efficacité énergétique dans le monde

Bannière WEC

Longtemps considérée comme une simple « option » par les pays de l’OCDE, l'efficacité énergétique se diffuse aujourd'hui plus largement, avec des progrès constatés dans toutes les grandes régions du monde. Un relatif consensus international émerge. Il voit l’efficacité énergétique comme une stratégie gagnante : réduction de la dépendance aux importations d’énergie, réduction des émissions de gaz à effet de serre liées à l’énergie, préservation de la compétitivité des entreprises et du pouvoir d’achat des ménages...

Toutefois, ces bonnes nouvelles apparaissent en trompe-l’œil; on constate ces dernières années un ralentissement généralisé de l’efficacité énergétique. Les disparités régionales demeurent et des solutions nouvelles doivent être trouvées pour tenir compte de la réalité de chaque pays et ainsi passer à la vitesse supérieure.

C'est ce que démontre un rapport inédit sur l’efficacité énergétique dans le monde, menée par l’ADEME pour le Conseil Mondial de l’Energie.

 La synthèse du rapport (PDF - 594 Ko)

 En savoir plus sur le Conseil Mondial de l'Énergie

 Notre communiqué de presse en anglais du 08/10/2013 (PDF - 315 Ko)

 Notre communiqué de presse du 08/10/2013 (PDF - 330 Ko)

07 octobre 2013

AGRIBALYSE® : l'impact environnemental des produits agricoles 

AgribalyseMieux connaître les impacts sur l'environnement des produits agricoles qu’ils consomment est une demande récurrente des consommateurs.

La mise à disposition d’indicateurs précis, partagés et fiables est aussi un besoin exprimé par le monde agricole afin d'améliorer les performances agronomiques et environnementales de leur secteur. Or, en matière d’alimentation, le manque de références sur les productions agricoles est notable.

Dans ce contexte, l’ADEME rend publique AGRIBALYSE®, une base de données d’Inventaires de Cycle de Vie (ICV) pour les produits agricoles. Ces inventaires présentent un bilan détaillé des émissions de polluants et des ressources consommées pour un certain nombre de produits agricoles types.
Cette base a été présentée ce 1er octobre, à l'ensemble des acteurs du secteur agricole et agro-alimentaire concernés afin d’échanger sur les méthodologies, les résultats obtenus, aujourd'hui disponibles sur le site internet de l’ADEME.

AGRIBALYSE®, un outil d’évaluation environnementale

L’ambition d’AGRIBALYSE® n’est pas d’évaluer les impacts environnementaux de chaque exploitation agricole, mais bien d’étudier des « cas types » permettant de mettre en évidence les bénéfices, en matière d’environnement, de certains modes de production.

Afin de mobiliser toutes les compétences nécessaires à la réalisation d’une base de données publique et homogène d’Inventaires de Cycle de Vie (ICV) des produits agricoles français, l’ADEME s’est associée à 14 partenaires dont l'expertise en matière d’évaluation environnementale, notamment dans le secteur agricole, est reconnue : l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), l'Agroscope Organisme de recherche Suisse (ART), le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD), le réseau des instituts des filières animales et végétales (ACTA) et 10 instituts techniques. Le programme couvre à ce jour 25 produits végétaux et 14 produits animaux.

De premiers résultats très attendus par les professionnels

Après 4 ans de recherche, AGRIBALYSE® a permis d’élaborer un socle de connaissances important qui pourra servir de point de repère pour l’élaboration d’autres Inventaires de Cycle de Vie. Ce socle repose d’une part sur une base de données (BDD) contenant 137 ICV qui couvre les principales productions agricoles françaises, et, d’autre part, sur un rapport méthodologique présentant l’ensemble des choix réalisés et garantissant la transparence des résultats.

Si les résultats obtenus nécessitent d’être approfondis, ils répondent à un premier enjeu important : fournir des références harmonisées, favoriser le dialogue au sein des filières, prioriser les actions.

Fondé sur des bases méthodologiques solides, AGRIBALYSE® offre en outre une visibilité forte de ces ICV pour les produits agricoles français à l’échelon international.

 Plaquette de présentation (PDF - 865 Ko)

 En savoir plus sur AGRIBALYSE®

 Notre communiqué de presse du 07/10/2013 (PDF - 303 Ko)

03 octobre 2013

Appel à projets : des bâtiments « responsables » à l’horizon 2020 !

L’appel à projets de recherche « Vers des bâtiments responsables à l’horizon 2020 » a pour objectif de soutenir et accélérer l’innovation technologique et organisationnelle dans le secteur du bâtiment.

Tous les types de bâtiments résidentiels et tertiaires, qu’ils soient pris isolément ou sous la forme d’îlots, sont éligibles.

Les actions relatives à la rénovation en tissus urbains constitués sont particulièrement attendues mais les bâtiments neufs précurseurs (bâtiments à énergie positive) ne sont pas exclus du champ de l’appel à projets.

Cet appel à projets de recherche s’adresse prioritairement à des équipes constituées connaissant bien à la fois les problématiques de la construction et les questions afférentes au développement durable dans le bâtiment.

Les projets attendus seront des études, des méthodologies, des nouvelles solutions technologiques ou organisationnelles économiquement viables et écologiquement soutenables axées sur un ou plusieurs des 5 thèmes suivants :

  • solutions packagées industrialisées pour la rénovation
  • mesure des consommations d’énergie et des impacts environnementaux
  • autoconsommation et mutualisation énergétique
  • traitement du confort des usagers
  • études socio-économiques visant la massification de la rénovation

Le présent appel à projets de recherche est ouvert depuis le lundi 30 septembre 2013 et la date de clôture est fixée au mardi 14 janvier 2014 à 17h.

 En savoir plus sur l'appel à projets

« Les énergies renouvelables au service de l’humanité », 40 ème anniversaire du congrès de l'UNESCO

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Sous le Haut Patronage de Monsieur François HOLLANDE, Président de la République

Initiative internationale « Les énergies renouvelables au service de l’humanité » à l’occasion du 40ème anniversaire du congrès fondateur de l’UNESCO « Le soleil au service de l’homme », le Jeudi 3 Octobre 2013, co-organisée par l’ADEME, le CNRS et l’UNESCO.

En 1973, s’est tenue à Paris la conférence internationale « Le soleil au service de l’homme » sous l’égide de l’UNESCO qui a marqué l’entrée de la thématique du développement durable parmi les grandes causes internationales.

De nombreuses initiatives et études viennent aujourd’hui donner corps à cette volonté de montée en puissance des énergies renouvelables, avec des scénarios à l’horizon 2050 allant jusqu’à prévoir une part majoritaire des énergies renouvelables dans l’approvisionnement énergétique de l’humanité.

40 ans après, on peut mesurer tout le chemin parcouru mais aussi celui qu’il reste encore à faire pour atteindre cet objectif. L’année 2013 marque une année charnière, qui se situe pratiquement à mi-chemin entre le congrès fondateur de 1973 et l’année 2050 - année symbolique pour la réduction d’un Facteur 4 des émissions de CO2 par rapport aux émissions de 1990.

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) vient de conclure dans son dernier Rapport, le 30 septembre dernier, que la Terre continue de se réchauffer. Les experts climatiques affirment aussi que le niveau des mers va continuer de s'élever et les phénomènes météorologiques extrêmes se multiplier. Les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) qui définissent un plan d'action global pour le développement, à atteindre d'ici à 2015, démontrent que, deux ans avant la date butoir, nous pouvons faire état de grands progrès. Il reste toutefois de grands défis à relever, notamment en faveur d’un environnement plus durable : les émissions mondiales de CO2 ont augmenté de plus de 46 % depuis 1990, un tiers des stocks de poisson ont été surexploités, la biodiversité recule, plus de 70 000 km² de forêt disparaissent chaque année en Afrique et en Amérique latine…

Face à ces défis, plusieurs échéances se dessinent aujourd’hui : d’une part, la Conférence des Parties sur les changements climatiques (COP 21) en décembre 2015, qui pourrait aboutir à l’adoption d’un accord international universel et contraignant « post Kyoto » ; d’autre part, l’initiative des Nations unies en faveur de l’énergie durable pour tous (SE4All) qui vise l’accès universel à l’énergie à l’horizon 2030.

Il faut donc rappeler avec force l’importance des énergies renouvelables et la nécessité de poursuivre leur développement.

Pour ces raisons, l’UNESCO, l’ADEME et le CNRS ont décidé d’organiser une rencontre internationale le jeudi 3 octobre 2013 sur le thème « Les énergies renouvelables au service de l’humanité : enjeux actuels et perspectives aux horizons 2030 et 2050 » qui permettra de faire le point et de débattre du développement des énergies renouvelables et des perspectives pour les années à venir.

L’initiative comportera une journée d’étude suivie d’une cérémonie en début de soirée à l’UNESCO (sur invitation).

« Les énergies renouvelables au service de l'humanité »

40ème anniversaire du congrès de l'UNESCO

Jeudi 3 octobre 2013 à 18h00

Maison de l’UNESCO,125 avenue de Sufren,75007 Paris

 Programme et plan d'accès

 Notre dossier de presse du 03/10/2013 (PDF - 874 Ko)

01 octobre 2013

A ne pas manquer en octobre

ADEME_CNRS_UNESCOL’événement – « Les énergies renouvelables au service de l’humanité »

En 1973, se tenait à Paris la conférence internationale « Le soleil au service de l’homme », sous l’égide de l’UNESCO, dans le but de promouvoir une utilisation accrue de l'énergie solaire dans les activités humaines.

A l'occasion du 40ème anniversaire de ce congrès fondateur, l'ADEME, le CNRS et l'UNESCO organisent le jeudi 3 octobre, au siège du CNRS, une journée d'étude internationale qui réunira des experts scientifiques, des industriels et des représentants ministériels pour débattre du développement des énergies renouvelables, de leur contribution à la transition énergétique mondiale et des perspectives pour les années et décennies à venir.

L’initiative comportera une journée d’étude suivie d’une cérémonie en début de soirée à l’UNESCO (sur invitation).

 Programme de la journée d'étude

 Programme et plan d'accès de la cérémonie

 

Le rendez-vous media – Atelier presse « Rapport de l’ADEME sur l’efficacité énergétique dans le monde pour le Conseil Mondial de l’Energie »

Bannière WEC
A l’occasion du 22ème World Energy Congress (Daegu, 13-17 octobre), l’ADEME présentera dans le cadre d’un atelier presse les résultats d’une étude internationale menée pour le Conseil Mondial de l’Energie.

Dans ce rapport, l’ADEME analyse l’interaction entre les politiques énergétiques développées à travers le monde et les performances des économies nationales en matière d’efficacité énergétique. Les 85 pays étudiés représentent plus de 90 % de la consommation d’énergie mondiale. L’étude propose également un ensemble de recommandations stratégiques à destination des pouvoirs publics comme des particuliers.

Rendez-vous le mardi 10 octobre à 8h30 – Eurosites Liège – 7 rue de Liège – Paris 9.

 

2èmes Assises nationales de la qualité de l’air (23-24 octobre)

Bannière Assises QA

Le Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie et l’ADEME, en partenariat avec le ministère des affaires sociales et de la santé, organisent les 23 et 24 octobre prochains les 2èmesAssises nationales de la qualité de l’air.

L’ensemble des parties prenantes (élus, associations, entreprises, monde agricole, bureaux d’études, universitaires…) se mobilisent pour partager leurs retours d’expérience en matière d’amélioration de la qualité de l’air intérieur et extérieur.

 En savoir plus

 

Mais aussi...

Le premier colloque Bilans Gaz à effet de serre, les 8 et 9 octobre

 Le programme

Les 7èmes Rencontres de la Performance Energétique, les 15 et 16 octobre

 Le programme

 

 L'oeil sur l'ADEME Octobre 2013 (PDF - 590 Ko)

30 septembre 2013

Les transporteurs affichent leurs émissions de CO2

Logo_co2_transportsÀ partir du 1er octobre, les entreprises de transports de personnes, de marchandises et de déménagement doivent informer leurs clients de la quantité d’émissions de CO2 induite par leur prestation. 

L’information CO2 des prestations de transports constitue un premier pas vers une meilleure prise en compte des émissions de gaz à effet de serre dans les choix des voyageurs et des chargeurs. 

Sa mise en œuvre résulte d’une large concertation avec les professionnels des transports au sein de l’Observatoire Énergie Environnement Transports (OEET). Animés par l'ADEME, les travaux ont associés de nombreuses entreprises volontaires, issues des secteurs du transport de marchandises et de personnes. Ils ont notamment abouti, en 2012, à un guide méthodologique qui rassemble toutes les informations nécessaires à la mise en place du dispositif chez les prestataires de transport.

Guide méthodologique pour l'information CO2 des prestations de transport

 En savoir plus sur les travaux de l'Observatoire Énergie Environnement Transports

 Communiqué de presse du Ministère de l’Écologie 


27 septembre 2013

BCIAT : B comme Biomasse, C comme Chaleur,...

L'ADEME annonce aujourd'hui le lancement d'un nouvel appel à projets BCIAT. Depuis 2008, c'est donc la 6ème édition qui comme les autres s’adresse aux entreprises des secteurs agricole, industriel et tertiaire mais dont le dispositif est allégé et plus incitatif. 

Qu'est ce que le BCIAT ?

BCIAT comme Biomasse, Chaleur, Industrie, Agriculture et Tertiaire; en d'autres termes, il s'agit de produire de la chaleur à partir de la biomasse et ce dans les secteurs de l'industrie, de l'agriculture et du tertiaire.

Le terme de « biomasse » regroupe toutes les matières organiques qui peuvent dégager de l’énergie soit par combustion directe ou suite à une étape de transformation. La biomasse représente donc aussi bien la fraction biodégradable des déchets industriels ou agricoles que le bois issu directement de la forêt

Les 5 appels à projets, lancés depuis 2008, ont permis de soutenir jusqu'alors 109 opérations biomasse énergie pour une production énergétique totale de 585 000 tep/an et une puissance totale installée de 1 150 MWth représentant une réduction d’1,5 million de tonnes de CO2 par an. A ce jour, ce sont 38 projets retenus qui sont en fonctionnement pour une production de chaleur à partir de biomasse supérieure à 150 000 tep/an.

Les secteurs d’activité concernés sont variés. Le secteur le mieux représenté est l’agroalimentaire avec, sur quatre ans, 50 projets en cours (dont 19 laiteries) et une production énergétique à partir de biomasse supérieure à 275 000 tep/an. Ceci reflète la volonté des industriels du secteur agroalimentaire d’améliorer les performances énergétiques et environnementales de leurs procédés et de communiquer sur des produits de grande consommation à faible teneur en carbone. Par ailleurs, ces industriels sont souvent situés en milieu rural, au plus près des producteurs de matières premières, avec un accès au gaz naturel limité. Ainsi, la biomasse constitue une très bonne opportunité de faire évoluer leurs équipements fonctionnant souvent fioul lourd.

Trois secteurs sont fortement impliqués:

  • le secteur du papier carton (100 000 tep/an) : utilisation de vapeur pour les procédés de production de papier/carton à usages divers (papier d’impression - écriture, papier de presse, papier tabac, papier ondulé, papier d’hygiène, cartons plats, papiers/cartons industriels et spéciaux) ;
  • la production de matériaux de construction (56 000 tep/an) : fabrication de briques, de tuiles, de plaques de plâtre, etc.
  • l’industrie du bois (39 000 tep/an) : séchage de bois en scierie, production de panneaux de bois, fabrication d’emballages.

Lancement d'un nouvel appel à projets BCIAT plus attractif

Cet appel à projets s’adresse aux entreprises des secteurs agricole, industriel et tertiaire. Il a pour objectif de soutenir la réalisation d'installations industrielles assurant une production énergétique annuelle supérieure à 1 000 tonnes équivalent pétrole (tep) à partir de biomasse, avec un objectif indicatif de 125 000 tep/an.

Afin de faciliter le financement des installations dans un contexte économique difficile, l’ADEME modifie cette année ses modalités de versement pour rendre le dispositif encore plus incitatif. Les projets retenus pourront bénéficier d’une avance dès la sélection du projet de 40 % de l’aide (au lieu de 25 % jusqu’à présent) et de l’aide restante répartie sur 4 ans (au lieu de 5 jusqu’à présent).

 Dossier de presse BCIAT (PDF - 528 Ko)

 Accéder au dossier de candidature

 En savoir plus

26 septembre 2013

VIVAPOLIS, la créativité française pour la ville

Logo VIVAPOLISLes marchés du développement urbain sont en forte croissance à l'international, avec un potentiel de progression estimé à 50 Md€ d’ici 2017. Dans le secteur de la ville durable, la France possède des champions dans toutes les filières - eau, air, déchets, mobilité, efficacité énergétique - et sur l'ensemble des métiers - de l’architecture à l’industrie, en passant par l’ingénierie, les services....

Avec VIVAPOLIS, la France se dote d’une véritable vitrine de l’excellence de cette offre à l’international. Cette marque, qui fédère les acteurs français de la ville durable - grands groupes et PME – permet aux entreprises de se présenter groupées sur les marchés étrangers et dans les salons internationaux, facteur indiscutable de réussite à l’export.

VIVAPOLIS, c’est aussi un site internet www.vivapolis.fr disponible en français et en anglais et destiné aux décideurs publics et privés du monde entier. Il répertorie les entreprises françaises de la ville durable – 80 actuellement avec un objectif d’au-moins 200 à terme – et présente leur savoir-faire à travers des réalisations concrètes en France ou à l’étranger. Evénements internationaux où l’offre française sera présente, contacts pour les entreprises qui souhaitent rejoindre cette démarche, liste des partenaires…viennent compléter les informations disponibles sur ce site.

Avec VIVAPOLIS, l’offre française va gagner en visibilité et en lisibilité. D’autres pays comme la Suède ont déjà adopté cette démarche fédératrice avec succès et il est primordial que nous regroupions toutes nos forces afin que nos entreprises tirent leur épingle du jeu dans la bataille du commerce mondial. Le « Mieux vivre en ville » est un secteur prioritaire à l’export et VIVAPOLIS va, j’en suis sûre, nous permettre de gagner des marchés. selon Nicole BRICQ, Ministre du Commerce Extérieur. 

Fortement soutenue par l'ADEME, cette initiative sera également présentée lors du salon POLLUTEC Horizons qui se tiendra à Paris du 3 au 6 décembre.

  Vivapolis, le dossier de presse (PDF - 671 Ko)

 Le Club ADEME International

25 septembre 2013

Comment vivrons-nous dans nos villes en 2050 ?

Couverture HS Terra EcoECOCITY, c'est le Sommet mondial de la ville durable et c'est à Nantes du 25 au 27 septembre, une première édition au sein de l’Union Européenne, la 10ème dans le Monde depuis ses premiers pas. Elle place la ville comme chantier essentiel pour la réponse aux enjeux globaux de la durabilité. Des objectifs ambitieux :

  • être un moment politique global important,
  • être un temps de mobilisation des forces vives,
  • faire émerger des solutions et les diffuser à grande échelle,
  • faire bouger les règles qui encadrent la ville.


A cette occasion, l'ADEME met en avant le fruit de son partenariat avec le magazine Terra Eco pour une approche accessible et avenante de ce concept de ville durable. 

  • Quelle ville pour demain ?
  • Comment mettre fin au modèle unique de la ville et privilégier des modèles qui s’intègrent plus harmonieusement dans leur environnement ?
  • Comment adapter nos territoires en fonction des évolutions démographiques, sociales, culturelles ?

C'est à ces questions que tente de répondre le Hors-Série Comment vivrons-nous dans nos villes en 2050, réalisé par Terra Eco, en partenariat avec l’ADEME.

Ce numéro aborde les aspects fondamentaux de la ville de demain que sont l’urbanisme, l’architecture, les nouvelles technologies ou encore la consommation. 

A travers la présentation de projets existants en France et dans le monde, le lecteur peut ainsi découvrir quelques solutions bien pensées .

  • De la plus simple, telle qu’une application smartphone qui indique une place libre dans un parking à Nice ou qui permet aux habitants de signaler les nids de poule à Boston…
  • … aux plus ambitieuses, comme à Marseille où la ville est alimentée en chauffage et climatisation grâce à la Mer Méditerranée, ou à Växjö, en Suède, où l’on utilise les déchets de l’industrie forestière pour approvisionner les habitants en chauffage, eau chaude, électricité et même climatisation.

 Comment vivrons-nous dans nos villes en 2050 (PDF - 3,9 Mo

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