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12 posts from avril 2012

20 avril 2012

Action internationale : lancement réussi pour la présidence française de MEDENER

Bajstock.comParis, le 18 avril 2012, ce sont rassemblés à l'Hôtel de Marigny, sous les auspices de la mission interministérielle de l’Union pour la Méditerranée, les membres de MEDENER - association méditerranéenne des agences nationales de maîtrise de l'énergie -  et notamment le Maroc, la Tunisie, le Liban, l’Espagne et la Grèce qui préside actuellement le Club EnR (réseau de 23 agences nationales en charge des thèmes de l'efficacité énergétique et des énergies renouvelables).

Sous la présidence de l'ADEME depuis février dernier, MEDENER accueillait ce jour-là industriels et bailleurs de fonds, actifs dans la région, pour un état des lieux des principaux programmes régionaux.

Leur objectif : trouver les convergences possibles et nécessaires entre les projets énergétiques et les nombreux programmes de financement.

Chiffre révélateur: 5.9 milliards d’euros de prêts ont été engagés ces 10 dernières années dans le secteur énergétique, au titre de la FEMIP (Facilité Euro Méditerranéenne d’Investissement et de Partenariat) comme l’a rappelé la Banque Européenne d’Investissement.

 L'ADEME renforce ses actions au Maroc

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Tout sur les aides financières dans l'habitat en 2012

Guides Aides 2012Maîtriser vos dépenses d’énergie passe nécessairement par une diminution des besoins de chauffage, de refroidissement et d’éclairage de votre logement et par l’utilisation d’équipements performants.

Que vous ayez un projet de construction neuve ou de rénovation, l’isolation constitue un des facteurs clés pour diminuer les besoins d’énergie de votre logement et améliorer son confort. Le recours à des équipements performants adaptés à ces besoins, l’installation de matériels utilisant les énergies renouvelables et des comportements raisonnés contribuent à une bonne maîtrise des dépenses d’énergie. De plus, vous limiterez ainsi les émissions de gaz à effet de serre  qui participent au réchauffement climatique.

Cette démarche vous apportera un triple bénéfice : un logement confortable, économe en énergie, des factures d’énergie maîtrisées et une valeur patrimoniale préservée voire accrue.

Une palette d’aides existe pour vous accompagner dans votre effort d’investissement . L'édition 2012 de ce guide pratique de l'ADEME fait le point.

 Télécharger notre guide Aides financières 2012 (PDF - 680 Ko)

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Producteurs et maraîchers : du bois pour chauffer vos serres ?

7334Couv_Biomasse_serresQu'ils soient horticulteurs ou maraîchers, le chauffage des serres est l’un des principaux enjeux pour la compétitivité de leur exploitation. Le choix du bois, notamment, pourrait constituer une alternative économique et durable face aux énergies fossiles. 

C’est en tout cas le choix qu’ont déjà fait certains d'entre eux en investissant dans une chaufferie bois ou "biomasse" : près de 300 ha de serres sont ainsi équipées en France.

Ce type de projet nécessite des études en amont de son montage, en particulier pour dimensionner précisément les besoins et s’assurer de la disponibilité en combustible dans la région. L’exploitation demande également un bon niveau technique, une bonne connaissance de la réglementation et un suivi constant.

Néanmoins, de réelles économies, et surtout la sérénité de ne plus directement dépendre du prix du pétrole, sont à portée de main.

Ce guide a pour objectif de vous aider à étudier cette question simple en apparence mais aux réponses nuancées : « la biomasse est-elle une énergie adaptée à mon entreprise ? »

 Télécharger notre guide (PDF - 2,2 Mo)

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17 avril 2012

Des “bonnes pratiques” pour un développement énergétique durable méditerranéen

Bajstock.comSi une hausse significative de la demande en énergie primaire est attendue de part et d'autre de la Méditerrannée - plus de 1,2 milliards de tonnes équivalent pétrole (tep) en 2020, et 1,4 en 2030, contre 1 en 2008 - la part des pays du Sud et de l’Est de la Méditerranée (PSEM) devrait, elle, augmenter de 31 % à 40 % en 2020 et 47 % en 2030. En effet, le rythme de croissance de la consommation d’énergie est ici 3 fois plus important que pour les pays du Nord, avec notamment un triplement de la consommation d’électricité. Des impacts importants sont également à prévoir en matière d'émissions de gaz à effet de serre.

L’ensemble des pays de la région méditerranéenne aspire donc à un développement énergétique durable. Les objectifs du Plan Solaire Méditerranéen (PSM) pour 2020 dans les PSEM illustrent cette ambition : une capacité installée d’électricité d’origine renouvelable de 20 GW et la promotion de projets d’efficacité énergétique avec un objectif indicatif quantifié d’économie estimé à 60 millions de tep par rapport à un scénario “laisser-faire”.

Or une palette importante de mesures existe en matière d’efficacité énergétique, tant au Nord qu’au Sud du bassin méditerranéen. Une large diffusion doit en être faite, chacun pourra alors s’inspirer des “bonnes pratiques” des autres pour les développer en fonction de son propre contexte, tout en recherchant ensemble des mesures innovantes, adaptées aux conditions méditerranéennes.

C’est dans ce but que MEDENER - réseau méditerranéen des agences nationales de maîtrise de l’énergie créé en 1997 et qui rassemble les représentants de 12 pays - a entrepris la réalisation d'un guide accessible au non spécialiste et présentant un aperçu des actions d’efficacité énergétique mises en œuvre dans les pays du Sud et de l'Est Méditerranéen.

 Télécharger la publication MEDENER

16 avril 2012

76% des Français reconnaissent l’intérêt d’une « valeur verte » dans l’immobilier

Sous l’effet de l’augmentation du coût de l’énergie, la « valeur verte », ou en d’autres termes, la valeur environnementale d’un bien immobilier, devrait être dans les années à venir une A&V N°32composante incontournable des prix du marché. Mais comment permettre aux particuliers et aux professionnels de l’immobilier d’anticiper les bénéfices concrets de la performance environnementale d’un bien immobilier ?

L’ADEME a mené une étude inédite pour mieux définir la valeur verte dans l’immobilier et proposer, avec le cabinet Sogreah, une première approche chiffrée en France. C'est à lire dans le Stratégie & Etudes N°32.

A lire aussi :

Le Diagnostic de Performance Energétique (DPE) : qu'est-ce que les Français en pensent après 4 ans d’existence ?

Crédible pour les particuliers…
Pour les ménages, le DPE fait partie intégrante des éléments à prendre en compte dans le cadre d’une transaction. En situation d’achat ou de location d’un logement, 8 interviewés sur 10 accordent de l’importance au DPE ; pour plus d’1/3, c’est un critère « très important ». Dans le cas d’une vente, environ 7 interviewés sur 10 lui accordent une attention particulière, 3 sur 10 seulement le considérant comme une simple formalité administrative.

… mais encore soumis aux interrogations des professionnels de l’immobilier
Pour les professionnels, le DPE bénéficie d’une bonne image. Il est considéré comme utile, simple à comprendre et à expliquer, ainsi que créateur d’emplois. Cependant, le scepticisme domine encore sur deux points essentiels : l’efficacité pour réduire la consommation d’énergie et pour lutter contre le réchauffement climatique. Par ailleurs, si l’intérêt des clients pour le DPE est jugé assez faible par les professionnels, il est plutôt en progrès depuis l’affichage obligatoire de la classe énergétique et devrait, d’après eux croître au fil des années.

Télécharger notre communiqué du 17/04/2012 (PDF - 598 Ko)

Consuter notre Stratégie & Etudes N°32

Consulter le rapport final de l'étude

13 avril 2012

Le contenu carbone du panier de consommation courante des ménages

Bajstock.comEn 2009, chaque Français a acheté en moyenne 700 kg d’aliments, de boissons et de produits de droguerie, parfumerie et hygiène. Ce panier d’achats moyen contenait 1,4 tonne équivalent carbone (eq.CO2 ). Le contenu eq.CO2  par kg d’achats varie dans un rapport de 1 à 25 environ selon la catégorie de produit. Ainsi, les fruits et légumes constituent 20 % du poids du panier et induisent 7 % du contenu carbone des achats.

Outre la catégorie socioprofessionnelle du ménage, ce sont sa composition familiale et la période de sa vie qui influent sur le contenu carbone du panier de consommation courante.

Les données mobilisées dans le cadre de cette étude co-financée par l'ADEME proviennent d’un panel de 20 000 ménages interrogés par Kantar Worldpanel sur leurs achats de produits de consommation courante en 2009. Le champ concerné représente environ 16 % de la dépense annuelle des ménages. Les produits correspondants pris en compte sont :

  • les produits alimentaires (hors les dépenses de restauration en dehors du foyer) ; la consommation de pain frais n’est pas prise en compte ; Ademevous_52_couv
  • les articles de ménage à courte durée de vie (exemple : produits d’entretien, éponges) ; 
  • les produits de la parfumerie, de beauté, de l’hygiène corporelle, ainsi que les appareils et autres articles de toilette ; 
  • les produits pour animaux (hors accessoires et services vétérinaires).

 

 Télécharger Le point sur... N° 121 - Avril 2012 - CGDD (PDF - 627 Ko)

 En savoir plus sur une alimentation durable

10 avril 2012

La nouvelle Base Carbone® : l’outil de reférence pour calculer et réduire son empreinte carbone

Le Grenelle Environnement impose à certaines organisations la réalisation de bilans gaz à effet de serre (GES) et oblige les prestataires de transports à informer leurs clients sur le contenu CO2 de leurs prestations. 4000 personnes morales publiques/privées sont soumises à l’obligation de réaliser ces bilans GES, à renouveler tous les trois ans; il en va de même pour près de 300 collectivités. Pour relever ce défi, l’ADEME a développé une base de données unique, harmonisant l’ensemble des données exploitables. Avec ce nouvel outil de référence, l’ADEME aide tous les acteurs à franchir une nouvelle étape en matière de comptabilité environnementale . La Base Carbone® est également accessible aux acteurs s’inscrivant dans une démarche volontaire.

 Télécharger notre communiqué du 10/04/2012 (PDF - 1,4 Mo)

 En savoir plus sur la « comptabilité environnementale »

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05 avril 2012

L'innovation dans le solaire : 14 projets soutenus par l’ADEME

Label IA_100mmA l’issue des Appels à Manifestations d’Intérêt « Solaire » et « Photovoltaïque » du programme des Investissements d’Avenir, 64 projets portés par 227 entreprises et laboratoires de recherche étaient candidats au financement de l’ADEME. L’Agence a retenu à ce jour 14 lauréats.

Pour réduire d’ici 2020 la dépendance énergétique de la France et ses émissions de gaz à effet de serre, les technologies solaires s’imposent comme l’une des principales solutions. Elles sont par ailleurs porteuses d’importants enjeux économiques pour notre pays, et notamment à l’export. Elles participent à l’essor de marchés stratégiques comme le stockage de l’énergie, les réseaux électriques « intelligents » (Smart Grids) et les bâtiments à énergie positive (BEPOS).

 Télécharger notre communiqué du 05/04/2012 (PDF - 254 Ko)

 Pour en savoir plus sur les projets de l'AMI Solaire

 Pour en savoir plus sur les projets de l'AMI Photovoltaïque

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04 avril 2012

Quand le Grand Lyon facilite la vie des usagers dans leurs déplacements

Grand_Lyon logoLe 5 avril, le Grand Lyon présente à la presse le projet OPTIMOD'LYON, un projet qui bénéficie du soutien de l’ADEME dans le cadre du programme Véhicule du futur des Investissements d’Avenir.

La communauté urbaine du Grand Lyon dispose de nombreuses infrastructures de transports et d’offres de services qui s’étoffent sans cesse. Mais si l’offre de déplacements est très importante et les réseaux maillés, l’information est éclatée en autant de sites que d’organisations (la Région, la SNCF, les conseils généraux, le Sytral, l’Etat, les sociétés d’autoroutes, le Grand Lyon, etc.), ce qui ne facilite pas la vie des usagers.

OPTIMOD'LYON « Optimiser la mobilité durable en ville », c'est 12 partenaires publics et privés qui expérimenteront ensemble des innovations majeures parmi lesquelles :

  • le test d'une prévision de trafic à 1h - une première en Europe - permettant d'améliorer le système de gestion des 1500 carrefours à feux de l'agglomération qui assure la priorité aux transports en commun et la fluidité du trafic routier,
  • le développement d'un navigateur pour tous les moImg_optimod_lyondes de transports, en temps réel et sur téléphonie mobile, encore une première en Europe,
  • le test d'un outil d'optimisation des tournées de fret et d'un outil de guidage de fret urbain sur mobile pour les opérateurs de fret urbain.

OPTIMOD'LYON est un projet d'ampleur dans lequel l'ADEME s'est investi afin d'en accélérer la réalisation. C'est aussi un exemple de coopération publique-privée et de pilotage conjoint:

  • le public comme garant de l’intérêt collectif et du pilotage d’ensemble de la mobilité urbaine
  • le privé garant de l’innovation technologique et porteur des dynamiques de développement commercial

 Télécharger la fiche OPTIMOD'LYON (PDF - 189 Ko)

 Télécharger le dossier de presse OPTIMOD'LYON (PDF - 1,1 Mo)

Au bureau comme à la maison : nous pouvons réduire notre impact sur l'environnement

Guide EEBAu bureau comme à la maison, nous avons besoin de nous chauffer, de nous éclairer, de nous équiper (fournitures, mobilier, internet…).

Au bureau comme à la maison, nous pouvons appliquer les mêmes principes et comportements permettant de consommer moins d'énergie, de produire moins de gaz à effet de serre, de déchets, de polluants… et ainsi de prendre en compte la protection de l’environnement. Guide TIC

La vie de bureau, c’est le quotidien pour beaucoup d’entre nous : nous sommes environ 13 millions d’employés de bureau et administratifs en France, soit 46 % de la population active. Le bureau, c’est aussi plus de 175 millions de m2 de bâtiments, qui consomment 275 kWhEP / m2.an, dont 56 % pour le chauffage et 32 % pour les usages spécifiques de l’électricité. Avec un trajet moyen domicile-travail de 15 km, nous parcourons chaque année 6 600 km pour aller travailler, soit la distance Paris - New Dehli, ce qui provoque l’émission d’environ 1,4 tonnes de CO2 par personne. Ce secteur d’activité crée enfin une quantité de déchets imposante : pour prendre l’exemple des déchets papiers, les Français, au bureau, en produisent chaque année 900 000 tonnes.

Réfléchir et agir pour réduire les pressions sur l’environnement des activités de bureau est essentiel et potentiellement payant. En tant que cadres ou employés, nous avons le pouvoir d’être initiateurs, prescripteurs et bien sûr acteurs dans ce domaine, en prise directe avec notre vie de tous les jours au travail.

Deux guides proposent un état des lieux des questions qui se posent, mais surtout des pistes d’engagement et des exemples qui marchent !


 Etre écocitoyen au bureau (PDF - 2,5 Mo)
 Internet, courriel : réduire les impacts (PDF - 1,8 Mo)