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228 posts categorized "Consommation & déchets"

04 juin 2012

Les transporteurs routiers s'engagent à réduire leurs émissions

7205_Couv_ObjectifCO2_TRVParce que les transports représentent 32% de la consommation d’énergie finale en France,

parce que 26% des émissions de gaz à effet de serre en France proviennent du secteur des transport,

parce que les émissions de CO2  sont directement liées à la consommation de carburant (en consommant moins d’énergie, on diminue les émissions de CO2  et on réduit le montant de ses factures de gazole),

parce que la qualité de l’air ambiant est une préoccupation majeure,

les transporteurs routiers de marchandises et de voyageurs sont particulièrement concernés par les objectifs nationaux de réduction de 20% des émissions de CO2 d'ici 2020

Alors que s'ouvre le 5 juin le Salon Européen de la Mobilité 2012, l'ADEME rappelle qu'une démarche concrète et volontaire - baptisée Objectif CO2 - est aujourd'hui proposée aux transporteurs ; depuis 2008 pour le secteur des marchandises, depuis septembre 2011 pour celui des voyageurs. 

A ce jour, ce sont près de 600 transporteurs qui ont déjà signé la charte d'engagement volontaire.

 Pour en savoir plus

 Télécharger notre plaquette Objectif CO2 / TRV (PDF - 2,2 Mo)

25 mai 2012

Diviser par 4 à 6 les besoins d'énergie de votre logement, c'est possible !

Guide renovationLe secteur du bâtiment consomme 43 % de l’énergie utilisée en France. Il est responsable de 22 % des émissions de CO2. La performance énergétique des logements français est nettement moins bonne que celle de la plupart des pays de l’Union européenne. La consommation moyenne (en énergie finale) des logements pour le chauffage y est de 138 kWh / m2 contre 110 kWh / m2 aux Pays-Bas dont le climat est pourtant plus rigoureux. L’ancienneté des logements est l'une des raisons de ce niveau de consommation. Les 2/3 des bâtiments datent d’avant 1975, alors qu’aucune réglementation thermique ne fixait d’obligations d’isolation ni de performance des équipements de chauffage.

Améliorer la performance énergétique d’un logement est intéressant à plus d'un titre : meilleur confort, augmentation de sa valeur patrimoniale, diminution de ses consommations d’énergie, de ses émissions de gaz à effet de serre et de ses rejets polluants… L’objectif des Pouvoirs publics est de réduire de 38 % la consommation d’énergie des bâtiments existants d’ici 2020.

Atteindre un niveau « basse consommation d’énergie » quand vous rénovez votre logement, c’est possible. Cela vous permet de diviser par 4 à 6 les besoins d’énergie du logement pour le chauffage. Au travers de ce guide, explorez les points à ne pas négliger et les solutions techniques envisageables pour atteindre ce niveau de performance dans votre maison !

 Télécharger notre guide Réussir une rénovation performante (PDF - 3 Mo)

23 mai 2012

Un avenir sans faim : les pertes alimentaires ne sont pas une fatalité !

Ademevous_52_couvTandis que France Nature Environnement (FNE) et ses partenaires lancent une grande opération de coaching sur le gaspillage alimentaire - présentée le jeudi 24 mai à 11h00 à la Bellevilloise dans le 20ème à Paris - l'ADEME revient à travers un n° spécial de son ADEME & Vous, sur les enjeux de l'alimentation durable.

Et comme les pertes alimentaires ne sont pas une fatalité, ces quelques pages proprosent aussi de bonnes idées à ne pas jeter !

 Télécharger notre ADEME & Vous N°52 (PDF - 1,5 Mo)

 Pour en savoir plus sur le gaspillage alimentaire

10 mai 2012

Plastiques végétaux et plastiques biodégradables : ce que l'ADEME préconise

L’ADEME rappelle avant tout que la priorité reste de limiter la production et la consommation de produits à usage unique ou à courte durée de vie.

Concernant les plastiques végétaux, l'Agence recommande de fournir une information claire au consommateur, notamment sur l'origine et la « fin de vie » de ces matériaux mais aussi sur la proportion de matières renouvelables présentes. 

Sur les plastiques biodégradables, l'ADEME souhaite que l'usage du terme « biodégradable », lorsqu'il ne concerne pas un emballage, soit accompagné de précisions sur l'étendue et le temps nécessaire à sa biodégradation complète. Elle rappelle enfin une évidence : l'appellation « biodégradable » ne peut en aucun cas être prétexte à l'abandon du plastique dans la nature !

 Télécharger notre fiche sur les plastiques végétaux (PDF - 844 Ko)

 Télécharger notre fiche sur les plastiques biodégradables (PDF - 950 Ko)

03 mai 2012

Consommer « local », c'est bien mais... pas toujours !

Les circuits courts alimentaires de proximité constituent aujourd’hui une opportunité économique non négligeable que ce soit pour le producteur (sécurisation de son modèle économique), le consommateur (prix ajusté au coût réel) ou un territoire (création d’emplois locaux). 

S’ils ont une influence plutôt positive sur l’environnement, la diversité des circuits courts de Bajstock.com  proximité, ainsi que le manque d’études complètes ne permettent pas d’affirmer que ceux-ci présentent systématiquement un meilleur bilan environnemental que les circuits longs, notamment en matière de consommation d’énergie et d’émissions de gaz à effet de serre.

Les modes de production et notamment la culture, pour les fruits et légumes, de produits de saison sont beaucoup plus déterminants en matière de bilan environnemental que le mode de distribution.

Par ailleurs, plus de proximité ne signifie pas nécessairement moins d’émissions de gaz à effet de serre si les moyens de transports utilisés sont inadaptés, si la logistique est insuffisamment optimisée ou si le comportement du consommateur est inadéquat.

Complémentaires des circuits longs, les circuits courts de proximité doivent permettre de répondre autant que possible localement à une partie des besoins alimentaires de la population d’un territoire, en fonction de la capacité agronomique du territoire et en restant vigilant sur leur performance environnementale.

 Télécharger l'avis de l'ADEME (160 Ko)

20 avril 2012

Tout sur les aides financières dans l'habitat en 2012

Guides Aides 2012Maîtriser vos dépenses d’énergie passe nécessairement par une diminution des besoins de chauffage, de refroidissement et d’éclairage de votre logement et par l’utilisation d’équipements performants.

Que vous ayez un projet de construction neuve ou de rénovation, l’isolation constitue un des facteurs clés pour diminuer les besoins d’énergie de votre logement et améliorer son confort. Le recours à des équipements performants adaptés à ces besoins, l’installation de matériels utilisant les énergies renouvelables et des comportements raisonnés contribuent à une bonne maîtrise des dépenses d’énergie. De plus, vous limiterez ainsi les émissions de gaz à effet de serre  qui participent au réchauffement climatique.

Cette démarche vous apportera un triple bénéfice : un logement confortable, économe en énergie, des factures d’énergie maîtrisées et une valeur patrimoniale préservée voire accrue.

Une palette d’aides existe pour vous accompagner dans votre effort d’investissement . L'édition 2012 de ce guide pratique de l'ADEME fait le point.

 Télécharger notre guide Aides financières 2012 (PDF - 680 Ko)

 Accéder à tous nos guides pratiques

16 avril 2012

76% des Français reconnaissent l’intérêt d’une « valeur verte » dans l’immobilier

Sous l’effet de l’augmentation du coût de l’énergie, la « valeur verte », ou en d’autres termes, la valeur environnementale d’un bien immobilier, devrait être dans les années à venir une A&V N°32composante incontournable des prix du marché. Mais comment permettre aux particuliers et aux professionnels de l’immobilier d’anticiper les bénéfices concrets de la performance environnementale d’un bien immobilier ?

L’ADEME a mené une étude inédite pour mieux définir la valeur verte dans l’immobilier et proposer, avec le cabinet Sogreah, une première approche chiffrée en France. C'est à lire dans le Stratégie & Etudes N°32.

A lire aussi :

Le Diagnostic de Performance Energétique (DPE) : qu'est-ce que les Français en pensent après 4 ans d’existence ?

Crédible pour les particuliers…
Pour les ménages, le DPE fait partie intégrante des éléments à prendre en compte dans le cadre d’une transaction. En situation d’achat ou de location d’un logement, 8 interviewés sur 10 accordent de l’importance au DPE ; pour plus d’1/3, c’est un critère « très important ». Dans le cas d’une vente, environ 7 interviewés sur 10 lui accordent une attention particulière, 3 sur 10 seulement le considérant comme une simple formalité administrative.

… mais encore soumis aux interrogations des professionnels de l’immobilier
Pour les professionnels, le DPE bénéficie d’une bonne image. Il est considéré comme utile, simple à comprendre et à expliquer, ainsi que créateur d’emplois. Cependant, le scepticisme domine encore sur deux points essentiels : l’efficacité pour réduire la consommation d’énergie et pour lutter contre le réchauffement climatique. Par ailleurs, si l’intérêt des clients pour le DPE est jugé assez faible par les professionnels, il est plutôt en progrès depuis l’affichage obligatoire de la classe énergétique et devrait, d’après eux croître au fil des années.

Télécharger notre communiqué du 17/04/2012 (PDF - 598 Ko)

Consuter notre Stratégie & Etudes N°32

Consulter le rapport final de l'étude

13 avril 2012

Le contenu carbone du panier de consommation courante des ménages

Bajstock.comEn 2009, chaque Français a acheté en moyenne 700 kg d’aliments, de boissons et de produits de droguerie, parfumerie et hygiène. Ce panier d’achats moyen contenait 1,4 tonne équivalent carbone (eq.CO2 ). Le contenu eq.CO2  par kg d’achats varie dans un rapport de 1 à 25 environ selon la catégorie de produit. Ainsi, les fruits et légumes constituent 20 % du poids du panier et induisent 7 % du contenu carbone des achats.

Outre la catégorie socioprofessionnelle du ménage, ce sont sa composition familiale et la période de sa vie qui influent sur le contenu carbone du panier de consommation courante.

Les données mobilisées dans le cadre de cette étude co-financée par l'ADEME proviennent d’un panel de 20 000 ménages interrogés par Kantar Worldpanel sur leurs achats de produits de consommation courante en 2009. Le champ concerné représente environ 16 % de la dépense annuelle des ménages. Les produits correspondants pris en compte sont :

  • les produits alimentaires (hors les dépenses de restauration en dehors du foyer) ; la consommation de pain frais n’est pas prise en compte ; Ademevous_52_couv
  • les articles de ménage à courte durée de vie (exemple : produits d’entretien, éponges) ; 
  • les produits de la parfumerie, de beauté, de l’hygiène corporelle, ainsi que les appareils et autres articles de toilette ; 
  • les produits pour animaux (hors accessoires et services vétérinaires).

 

 Télécharger Le point sur... N° 121 - Avril 2012 - CGDD (PDF - 627 Ko)

 En savoir plus sur une alimentation durable

04 avril 2012

Au bureau comme à la maison : nous pouvons réduire notre impact sur l'environnement

Guide EEBAu bureau comme à la maison, nous avons besoin de nous chauffer, de nous éclairer, de nous équiper (fournitures, mobilier, internet…).

Au bureau comme à la maison, nous pouvons appliquer les mêmes principes et comportements permettant de consommer moins d'énergie, de produire moins de gaz à effet de serre, de déchets, de polluants… et ainsi de prendre en compte la protection de l’environnement. Guide TIC

La vie de bureau, c’est le quotidien pour beaucoup d’entre nous : nous sommes environ 13 millions d’employés de bureau et administratifs en France, soit 46 % de la population active. Le bureau, c’est aussi plus de 175 millions de m2 de bâtiments, qui consomment 275 kWhEP / m2.an, dont 56 % pour le chauffage et 32 % pour les usages spécifiques de l’électricité. Avec un trajet moyen domicile-travail de 15 km, nous parcourons chaque année 6 600 km pour aller travailler, soit la distance Paris - New Dehli, ce qui provoque l’émission d’environ 1,4 tonnes de CO2 par personne. Ce secteur d’activité crée enfin une quantité de déchets imposante : pour prendre l’exemple des déchets papiers, les Français, au bureau, en produisent chaque année 900 000 tonnes.

Réfléchir et agir pour réduire les pressions sur l’environnement des activités de bureau est essentiel et potentiellement payant. En tant que cadres ou employés, nous avons le pouvoir d’être initiateurs, prescripteurs et bien sûr acteurs dans ce domaine, en prise directe avec notre vie de tous les jours au travail.

Deux guides proposent un état des lieux des questions qui se posent, mais surtout des pistes d’engagement et des exemples qui marchent !


 Etre écocitoyen au bureau (PDF - 2,5 Mo)
 Internet, courriel : réduire les impacts (PDF - 1,8 Mo)

02 avril 2012

L'ADEME, c'est (aussi) une mine d'informations !

LOGOADEMDu changement climatique à la qualité de l'air, de l'efficacité énergétique à la prévention des déchets, l'ADEME met tout son savoir à la disposition des Français pour leur permettre de mieux comprendre les enjeux environnementaux et agir en conséquence.

Logo_ecocitoyensC'est là l'une des missions de l'ADEME depuis plus de 20 ans et pour y parvenir, l'Agence a mis en œuvre une démarche pédagogique, tant au niveau national que régional, afin que le développement durable soit accessible à tous : grand public, entreprises, collectivités et pouvoirs publics .

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