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13 novembre 2013

Un « CoachCopro® » pour faire des économies d'énergie en copropriété

Logo Coach CoproLe Salon de la copropriété qui se tient aujourd'hui et demain, 13 et 14 novembre, Porte de Versailles à Paris est l'occasion de rappeler le lancement le 15 octobre dernier - par l’Agence Parisienne du Climat (APC) et l’ADEME - du « CoachCopro® ». Cette plateforme web gratuite et indépendante est dédiée aux copropriétaires pour les aider dans leurs travaux d’économies d’énergie.

Comment :

  • Réduire les charges de copropriété et les factures d’énergie ?
  • Améliorer le confort thermique ou mieux valoriser son patrimoine immobilier ?
  • Participer à la réduction des émissions de CO2 de son immeuble ?

Réponses sur le site du CoachCopro® : www.coachcopro.com.

Son objectif ? Simplifier la rénovation énergétique des immeubles, par un accompagnement personnalisé, à travers les trois grandes étapes du projet : préparation, audit et travaux.

Le CoachCopro® propose donc un parcours personnalisé pour conduire pas à pas son projet de rénovation énergétique, un tableau de bord commun à tous les copropriétaires de son immeuble qui peut être partagé avec les professionnels dont se sont entourés les conseils syndicaux, le suivi et l’archivage des consommations, mais également la suggestion d’aides financières adaptées ainsi que l’assistance d’un conseiller Info-Energie Climat de l’APC en cas de besoin. 

En 2013, cet accompagnement est proposé aux copropriétés et aux syndics de Paris et de la 1ère couronne mais il a pour vocation à s’étendre à d’autres territoires au plan national en 2014.

 Le dossier de presse du 15/10/2013 (PDF - 1,2 Mo)

Faire vivre le Grand Paris au Salon des maires

L'ADEME sera présente au Salon des maires (Hall 2.1 E36) du 19 au 21 novembre à la porte de Versailles. Au programme, 2 temps forts :

Couv Mook Grand ParisComment conjuguer urbanisme et développement durable dans le cadre du Grand Paris ?

A l’occasion de la sortie du MOOK « Grand Paris, terre d’échanges » (réalisé avec le soutien de l’ADEME), la notion de partage pour faire vivre le Grand Paris sera plus particulièrement abordée autour d’une table ronde animée par Carine Merlino (rédactrice en chef de ce MOOK) en compagnie de Gwénaël Guyonvarch, Directeur de l'action régionale Nord et Est, ADEME; Franck Boutté, consultant développement durable (Agence Franck Boutté consultants), associé à l'agence TVK participant à l'atelier International du Grand Paris ; Philippe Madec, architecte-urbaniste engagé en matière d'éco-responsabilité, figurant parmi les 5 lauréats des Global awards 2012 ; Dominique Bidou, co-auteur de cet ouvrage, ancien directeur au ministère de l'environnement, président d'honneur de l'association HQE, consultant DD.

 Pour commander cette publication

La qualité de l’air, un véritable enjeu environnemental et sanitaire; l'ADEME vous aide à agir (Conférence ADEME AACT-AIR)

La pollution atmosphérique est à l'origine de nombreux impacts sur l'environnement et sur la santé humaine et les collectivités sont des acteurs essentiels pour préserver et améliorer la qualité de l'air. Afin d'initier, encourager et concrétiser des actions territoriales et locales efficaces et socialement équitables permettant une amélioration quantifiable de la qualité de l'air, l'ADEME a initié en 2013 la première édition de AACT'AIR, appel à projets à destination des collectivités territoriales. Elle présentera le 20 novembre 2013, à l'occasion du Salon des maires, les premiers projets retenus avec le témoignage de 2 parties prenantes. Intervenants : Marie Pouponneau, ingénieur ADEME ; Corinne Praznoczy, consultante, projet lauréat MOTIV'AIR (outil d'évaluation des impacts du développement des politiques favorisant les transports actifs pour améliorer la qualité de l'air) ; Dominique Carré, Conseiller Délégué aux transports et aux déplacements de Plaine Commune, pour le projet lauréat Plan Marche (sous réserve)

 AACT-AIR : 10 lauréats s'impliquent pour améliorer la qualité de l'air

DEINOVE : une nouvelle génération de composés chimiques

Label IA_100mmLa chimie verte constitue déjà un marché mondial de 135 milliards de dollars (100 milliards d’euros) et une forte progression est attendue dans les prochaines années. 2ème producteur agricole dans le monde, l’Europe dispose d’une importante réserve de biomasse et compte plusieurs groupes leaders dans le domaine de la chimie et de l’agro-industrie. La France en particulier, 1er pays producteur agricole en Europe, a les moyens de renforcer dans ce secteur la qualité de sa recherche et de son innovation technologique.

Dans le cadre du programme « démonstrateurs et plateformes technologiques en énergies renouvelables et décarbonées et chimie verte » des Investissements d’Avenir, l’ADEME apporte son soutien au projet de la société DEINOVE à hauteur de 5,9 millions d'euros. 

L’isoprène, les caroténoïdes, le linalol, le géraniol ou encore le myrcène sont des intermédiaires chimiques aujourd’hui en grande partie issus de la pétrochimie et utilisés dans de très nombreux secteurs tels que la chimie de spécialité, la parfumerie, l’alimentation animale, les cosmétiques, la pharmacie… 

Le projet de la société DEINOVE ambitionne à terme de produire - grâce à des procédés de bioproduction performants et économiques - une nouvelle génération de composés chimiques qui, à partir de biomasse non alimentaire telle que paille de blé, drêches, épis de maïs, cultures énergétiques dédiées et déchets industriels et urbains notamment et grâce aux bactéries Déinocoques, pourront se substituer aux composés traditionnellement pétrosourcés. 

 En savoir plus sur le projet

 Les programmes de l'ADEME dans le cadre des Investissements d'Avenir

12 novembre 2013

1ères Rencontres Nationales de l'Urbanisme Durable

Visuel RNUDPartout dans le monde, la période contemporaine est marquée par trois processus interdépendants :

  • une urbanisation planétaire amplifiée par la pression démographique et les flux migratoires internationaux ;
  • des changements environnementaux globaux (changements climatiques, raréfaction des ressources naturelles, écosystèmes menacés) ;
  • une mondialisation croissante des échanges (de biens, de personnes et de flux immatériels).

En Europe, le contexte particulier de crise économique et financière est anxiogène. Plus généralement, dans tous les pays développés, le vieillissement de la population met en péril les équilibres sociodémographiques historiquement obtenus, l’Europe étant aujourd’hui l’une des régions mondiales les plus urbanisées avec plus des deux tiers des Européens vivant dans des villes de plus de 5 000 habitants.

Les villes sont les moteurs de l’économie et jouent un rôle majeur dans la lutte contre le changement climatique « parce qu’elles sont à la fois à l’origine des problèmes et à l’origine des solutions ».

En France, près de 80 % de la population vit dans les agglomérations où 70 % des gaz à effet de serre sont émis. Ces deux chiffres sont en constante augmentation.

L’organisation urbaine contemporaine accumule une puissance de plus en plus impressionnante : technologique, économique, financière, politique, culturelle. Mais les concentrations de population et d’activités posent des problèmes importants de vulnérabilité sanitaire, énergétique et économique des populations.

Aucune réflexion prospective, pas plus que l’action politique ne pourront l’oublier. C’est pourquoi l’objectif d’un urbanisme durable de la ville, tant en matière de planification que d’aménagement, doit répondre de façon cohérente et concomitante à différentes finalités parmi lesquelles : la lutte contre l’étalement urbain et la surconsommation des espaces naturels, la recherche de la compacité, la préservation de la biodiversité, des milieux et des ressources, la lutte contre les nuisances, la cohésion sociale…

Les 12 et 13 novembre, se tiennent à Paris, Maison de la Chimie, les 1ères Rencontres Nationales de l'Urbanisme Durable. L'objectif de l'opération est de mener notamment un travail pédagogique et de réflexion autour de l'Approche Environnementale de l'Urbanisme (AEU) et de ses dernières évolutions.

 Le programme des 12 et 13 novembre 

 Stratégie urbanisme 2012-2015 de l'ADEME 

 Guide Réussir la planification et l'aménagement durables

 Une approche "environnementale" de l'urbanisme, c'est quoi ?

 Feuille de route ADEME : Défis et perspectives pour une ville durable performante (PDF - 3Mo)

08 novembre 2013

La méthanisation en France à l'horizon 2030

VisuelbiogazSe tiennent les 7 et 8 novembre 2013 les Rencontres nationales pour le développement du biogaz organisées par la Région Midi-Pyrénées en collaboration avec les services de l’État, l’ADEME, ATEE, GrDF, le CLER et la Caisse des Dépôts.

L'ADEME a récemment publiée une estimation des gisements potentiels des ressources utilisables en méthanisation à l'horizon 2030 à l'échelle nationale. Les ressources prises en compte sont :

  • les ressources agricoles : effluents d’élevage, résidus de cultures, cultures intermédiaire à vocation énergétique ;
  • les ressources d’industries agro-alimentaires (IAA) par secteurs d’activités ;
  • les ressources de l’assainissement ;
  • les déchets verts ;
  • les déchets organiques des ménages ;
  • les déchets organiques de la restauration, des petits commerces, de la distribution, des marchés.

Les ressources suivantes ont été identifiées comme utilisables en méthanisation mais en phase d’expérimentation ou difficile à estimer, elles n’ont pas fait l’objet d’une évaluation quantitative à l’horizon 2030 :

  • les algues vertes,
  • les micro-algues,
  • l’herbe de bord de routes,
  • les prairies,
  • les productions agricoles de fruits et légumes.

Le gisement global mobilisable d'ici 2030 pour la méthanisation a ainsi été évalué à 130 millions de tonnes de Matière Brute soit 56 TWh d’énergie primaire en production de biogaz. Il est composé à 90% de matières agricoles

Ce gisement représente 30 % du gisement net disponible, le potentiel de production de biogaz à partir des ressources considérées dans cette étude s’élèvant à 185 TWh

En intégrant des ressources comme l’herbe de fauche de bord de route, les prairies naturelles et les CIVE d’été (Culture Intermédiaire à Vocation Energétique qui se situe entre la récolte d’une culture principale et le semis de la suivante) et ce, dans certaines conditions d’évolution des pratiques agricoles et utilisations des terres, le gisement net disponible pourrait atteindre les 240 TWh et le gisement mobilisable dépasser les 70 TWh à l'horizon 2030.

 Le rapport complet de l'étude

07 novembre 2013

Une filière de pneus d'origine végétale ?

Axens, IFP Energies nouvelles (IFPEN) et Michelin ont annoncé le lancement d’un projet de recherche - BioButterfly - dans le domaine de la chimie du végétal afin de développer et commercialiser un procédé de production de butadiène biosourcé (biobutadiène), c'est-à-dire partiellement ou totalement issus de matières premières renouvelables.

Pneu MichelinLe butadiène est un important réactif chimique d'origine fossile (pétrole et gaz naturel) utilisé en particulier dans la fabrication des caoutchoucs synthétiques dont 60 % de la production mondiale sont destinés au secteur des pneumatiques.

Le procédé BioButterfly permettra de fabriquer une nouvelle génération de caoutchoucs synthétiques issus de la biomasse, donc de matières organiques, plus respectueux de l’environnement.

A terme, l'ambition de ce projet est de préparer la future filière industrielle française de caoutchoucs biosourcés.

D'une durée de 8 ans, BioButterfly dispose d'un budget de 52 M€. Le projet a été sélectionné par l'ADEME pour un financement à hauteur de 14,7 M€ dans le cadre du Programme Investissements d'Avenir (PIA).

Les recherches s'articuleront autour de cinq enjeux prioritaires :

  1. la production d'un biobutadiène économiquement compétitif,
  2. la réduction des impacts environnementaux, et notamment des émissions de CO2, sur l'ensemble de la chaîne de production par rapport à l'existant,
  3. la fabrication de caoutchoucs de synthèse très performants et d'un procédé applicable à toutes les utilisations du biobutadiène,
  4. la réduction des coûts d'investissement,
  5. la préparation de la future filière industrielle française de production de caoutchoucs biosourcés.

 En savoir plus sur le projet BioButterfly (PDF - 650 Ko)

 En savoir plus sur les Investissements d'avenir

PRAXIBAT® ou la formation de proximité pour les professionnels du bâtiment

Le programme PRAXIBAT® a été créé pour former et développer les compétences des jeunes et des professionnels du bâtiment dans les métiers dédiés à la construction et la réhabilitation durable.

L’enjeu est de taille puisqu'il s'agit de structurer et d'étendre à l'ensemble du territoire national un réseau de formation afin que chaque artisan, chaque installateur, chaque élève et apprenti puisse trouver à proximité de chez lui un outil de formation adapté.

Pour cela, ce programme mobilise en région les acteurs de la formation continue et initiale, les organisations professionnelles, le Conseil Régional et les services de l’Etat.

Il mutualise les moyens techniques et financiers des partenaires pour concevoir, moderniser et favoriser l’accès à des plateaux techniques conformes à des exigences technologiques et pédagogiques précises qu'il complète par la formation de formateurs adaptées et trois kits pédagogiques sur l’efficacité énergétique avec en tronc commun l’étanchéité à l’air des bâtiments :

  1. ventilation,
  2. isolation des parois dites "opaques" (non vitrées),
  3. éclairage performant.

Le programme PRAXIBAT® met très fortement l’accent sur les travaux pratiques à réaliser par les stagiaires afin qu’ils soient capables à l’issue des sessions de formation de maîtriser les gestes indispensables à la bonne réalisation des travaux d’efficacité énergétique.

Une nouvelle plateforme de formation PRAXIBAT® en région Centre

Praxibat-lycee-gaudier-brzeskaAinsi aujourd'hui en  région Centre - à Saint-Jean de Braye - a été inaugurée une toute nouvelle plateforme de formation PRAXIBAT® dédiée aux « parois opaques », en présence notamment de Bruno LECHEVIN, Président de l'ADEME et François BONNEAU, Président de la Région Centre. Cette plateforme va permettre dès 2014 de former les jeunes et les professionnels à la construction et la réhabilitation durable afin d'améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments.

La région Centre doit en effet répondre à l'objectif de 18 500 rénovations de logements par an. A ce jour, 4 plateformes « parois opaques » existent, situées à Châteauroux, Nazelles-Négron, Chartres, Saint-Jean-de-Braye.

En 2014, avec une plateforme à Romorantin et une autre à Bourges, tous les départements de la région Centre seront équipés

 Bâtiment : le vaste chantier de la formation

Consommation énergétique : le bâtiment innove, l'Etat soutient.

Label IA_100mmDiviser par quatre les émissions nationales de gaz à effet de serre et par deux la consommation énergétique d’ici 2050 nécessite une réhabilitation massive du parc immobilier existant. En France, le bâtiment produit chaque année 25% des émissions de gaz à effet de serre et consomme 44% de l'énergie finale; il est donc nécessaire d’accroître l’efficacité énergétique des constructions neuves et existantes.

Si la rénovation énergétique constitue un véritable enjeu national, elle n’est pourtant possible qu’à condition de pouvoir disposer de solutions de réhabilitation maîtrisées par les acteurs de ce secteur, économiquement compétitives et reproductibles sur une large typologie de bâtiments.

Réduire la consommation d’énergie sur le long terme nécessite de favoriser le développement de nouveaux matériaux d’isolation, d'équipements de production de chaleur particulièrement innovants ou encore de systèmes multifonctions de pilotage des consommations d'électricité, utilisés pour le chauffage, l'éclairage, les procédés industriels mais aussi pour des consommations plus spécifiques avec la multiplication des appareils ménagers. 

C’est à ces enjeux que répondent les quatre projets retenus par l’Etat dans le cadre du deuxième AMI « Bâtiments et ilots performants », en présentant des solutions nouvelles et concrètes pour réduire la consommation énergétique de différents types de bâtiments :

  • IBIS propose le développement à l’échelle industrielle d’un isolant biosourcé destiné au bâti ancien, notamment les maisons individuelles d’avant 1949 ;
  • SmartLight développe un système d’éclairage intelligent à haute efficacité énergétique pour les bâtiments tertiaires et industriels ;
  • Wood’Ite industrialisera des solutions de rénovation en bois pour l’habitat collectif;
  • VIpeR innovera avec une offre d’isolation intérieure à haute performance pour l’habitat et le tertiaire en zone urbaine.

 En savoir plus sur les lauréats

 Notre communiqué du 07/11/2013 (PDF - 382 Ko)

 En savoir plus sur les Investissements d'avenir

06 novembre 2013

Salon Batimat : Concours de l'Innovation 2013

L’édition 2013 du Concours de l’Innovation dont les lauréats ont été révélés lundi 4 novembre sur le Salon Batimat, a pour objectif de récompenser et de promouvoir les innovations techniques notamment sur les marchés de la construction, du confort et de l'efficacité énergétique

Banière Batimat 2013
235 dossiers présentés par les exposants ont été examinés par 9 jurys techniques spécifiques, composés d’experts reconnus : maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, entrepreneurs, organismes et centres techniques, journalistes, architectes…  81 projets ont ainsi été remarqués et nominés puis soumis au Grand Jury le 3 octobre, pour déterminer les futurs lauréats . Le Grand Jury 2013 était présidé par M. Alain Maugard (Président de Qualibat), et constitué de l’ADEME, de Batiactu.com, du Moniteur et des Présidents des principales organisations du bâtiment (CAPEB, FFB, CNOA, CSTB, CETIAT, USH, UNTEC, AICVF, IFPEB, ARCORA, CEDRE, TBC…).

L’ADEME a remis à cette occasion les deux Grands Prix Efficacité Energétique :

  • l’un pour le lauréat du Salon Batimat : panneau photovoltaïque S-PAC de la société SYSTOVI, intégré en toiture ;
  • l’autre pour le lauréat du Salon Interclima+Elec : chaudière combinée Hydroconfort Solaire de la société FRISQUET.

Lauréat du Salon Batimat : SYSTOVI

SYSTOVI est une entreprise française qui fabrique des modules photovoltaïques et des modules hybrides PVT (photovoltaïque et thermique). Ces modules produisent à la fois de l'électricité et de la chaleur, le fluide caloporteur étant l'air situé sous les modules.

SYSTOVI a également développé un système permettant de valoriser l'air chaud sous les modules hybrides PVT en l'insufflant dans le bâtiment grâce à un dispositif de ventilation. Ici, le système S-PAC consiste à coupler les modules hybrides PVT à un chauffe-eau solaire thermodynamique. L'électricité produite par les modules photovoltaïques permet d'alimenter la pompe à chaleur du système thermodynamique dont le coefficient de performance est amélioré par l'air chaud récupéré sous les modules. Le principal intérêt du système S-PAC est de pouvoir stocker l'énergie produite dans la journée par le système PV sous forme d'eau chaude dans un ballon.

Lauréat du Salon Interclima+Elec : FRISQUET

FRISQUET a développé la solution Hydroconfort Solaire. Il s'agit d'un système complet et packagé de chaudière à condensation couplée à un chauffe-eau solaire individuel optimisé de faible surface. Cette solution pallie les deux principaux problèmes des chaudières à condensation :

  • répondre au mieux aux besoins des bâtiments, sans surpuissance ;
  • améliorer les performances en assurant la condensation des fumées même pour la production d'eau chaude sanitaire.

Ses performances, en particulier saisonnières, sont très élevées et sa fabrication de très bonne qualité. 

Le chauffe-eau solaire individuel est quant à lui composé d’un seul panneau solaire de 2m² mais présente un taux de couverture solaire élevé (60%).

 En savoir plus sur les lauréats du Concours de l'Innovation 2013 

Véhicules hybrides et électriques : c'est que du bonus !

En 2013, si vous achetez un véhicule qui émet moins de 105 g de CO2 par kilomètre, vous pouvez bénéficier d’une réduction sur son prix d’achat. C'est ce que l'on appelle le bonus écologique.

Bajstock.comLe bonus écologique est une aide financière destinée à inciter l'acheteur à s'orienter vers les voitures particulières neuves émettant peu de CO2 (moins de 105 g CO2/km). Plus les émissions sont faibles et plus le bonus est élevé. 

A contrario, ce système pénalise, via un malus, les acheteurs qui optent pour les modèles les plus polluants (dès 136 g de CO2/km). Plus les émissions sont fortes et plus le malus est élevé.

Il existe une zone intermédiaire où il n’y a ni bonus ni malus. Elle concerne les voitures qui émettent entre 106 g et 135 g de CO2/km.

Sont concernés tous les types de voitures particulières neuves qui comportent au plus neuf places assises, y compris celle du conducteur, et dont le poids total autorisé en charge n’excède pas 3,5 tonnes. Il s'agit de voitures neuves au sens de l’article R. 311-1 du code de la route, qu’elles soient immatriculées par des particuliers ou par des sociétés. Sont également concernés les véhicules particuliers ou les camionnettes loués avec option d'achat ou pour une durée d'au moins deux ans.

Par contre, ce dispositif ne soutient pas l'achat de véhicules destinés au transport de marchandises ainsi que les véhicules d'occasion. 

Pour faire un choix avisé avant de songer à l'achat d'un véhicule soutenu par ce dispositif, l'ADEME propose un comparateur en ligne (consommations, CO2 et polluants), régulièrement actualisé, concernant à ce jour l'ensemble des nouveaux véhicules homologués par l'UTAC mis sur le marché au 30 septembre.

 Le comparateur Car Labelling ADEME

 Pour en savoir plus sur le bonus écologique

 La voiture autrement !