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05 novembre 2013

A ne pas manquer en novembre

L’événement – Déchets : une nouvelle campagne nationale de prévention 

Le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas ! La prévention est le maître-mot de la Semaine européenne de la réduction des déchets (SERD), organisée par l’ADEME, qui se tient cette année du 16 au 24 novembre dans toute la France et en Europe.

Inscrite dans le cadre d'une nouvelle campagne nationale "Réduisons vite nos déchets, ça déborde", la SERD constitue le temps fort d'une mobilisation qui s'adresse aussi bien aux administrations, collectivités et associations qu'aux scolaires et au grand public. Tout le monde peut agir !

 Le programme de la SERD

L’actu – Salon Batimat 2013 : la mention RGE étendue et renforcée

Créée en 2011, la mention RGE permet aux particuliers d’identifier facilement les professionnels du bâtiment les plus qualifiés en matière de rénovation énergétique. A l’occasion du Salon Batimat 2013 (du 4 au 8 novembre 2013 à Paris Nord-Villepinte), Bruno Léchevin, Président de l’ADEME, a annoncé, en présence de Cécile Duflot, ministre de l’Égalité des territoires et du Logement, les dernières évolutions de la mention RGE, et notamment son extension aux professionnels de l’ingénierie du bâtiment (bureaux d’études et économistes de la construction).

L’ADEME donne rendez-vous à tous les professionnels du bâtiment sur son stand 5A D86.

 En savoir plus sur Batimat 2013

L’ADEME organise les 1ères Rencontres Nationales de l'Urbanisme Durable

Comment réussir le développement durable de la ville ?

Pour répondre à cette question, l’ADEME et le Groupe Moniteur organisent les 1ères Rencontres Nationales de l'Urbanisme Durable les 12 et 13 novembre à Paris. L’ADEME reviendra sur les outils existants et présentera l’AEU 2 (Approche Environnementale de l’Urbanisme), une méthodologie au service des collectivités et des acteurs de l’urbanisme pour les aider à mieux intégrer le développement durable dans tous leurs projets.

 1ères Rencontres Nationales de l'Urbanisme Durable

Journée technique de l’ADEME « Hydrogène et piles à combustibles »

L'ADEME organise cette Journée technique le 19 novembre à la Cité internationale Universitaire à Paris. Il s'agit de faire le point sur les développements des technologies hydrogène et piles à combustible pour les applications énergétiques : les premières démonstrations dans le domaine de la mobilité, des bâtiments, des réseaux ; les premiers retours d'expérience du point de vue des usagers et les bénéfices environnementaux et techniques à attendre de ces innovations. Bruno Léchevin, Président de l’ADEME, ouvrira cette Journée.

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Colloque Primequal ADEME – MEDDE : Qualité de l'air à l'intérieur des bâtiments

Avec plus de 80% du temps passé dans des espaces clos, la qualité de l’air intérieur est une préoccupation sanitaire majeure des populations et des pouvoirs publics. L’ADEME et le Ministère de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie organisent le Colloque Primequal « Qualité de l’air à l’intérieur des bâtiments : causes, effets, prévention et gestion » les 19 et 20 novembre à La Rochelle. Cette table ronde sera l’occasion de présenter l’ensemble des projets de recherche soutenus dans le cadre de ce programme et de fournir les bases scientifiques et les outils nécessaires aux décideurs et aux acteurs de l’environnement pour améliorer la qualité de l’air.

 Programme et inscriptions

Une étude sur le potentiel du stockage d'énergies

Synthèse EtudeAu cœur de la transition énergétique, le stockage d’électricité, de chaleur et de froid fait office de candidat sérieux pour soutenir le développement des énergies renouvelables.

Pour la première fois en France, une étude lancée conjointement par l’ADEME, l’ATEE et la DGCIS en dévoile le potentiel à l’horizon 2030, avec un véritable enjeu de création d’une filière industrielle française.

L’étude montre également que le développement du stockage stationnaire d’électricité dans le monde pourrait générer plus de 10 000 emplois sur le territoire français dans les 15 ans à venir...

 Le communiqué de presse du 05/11/2013 (PDF - 318 Ko)

 Synthèse de l'étude sur le potentiel du stockage d'énergies (PDF - 678 Ko)

 Rapport de l'étude sur le potentiel du stockage d'énergies (PDF - 5,6 Mo)

04 novembre 2013

Partenariat ADEME-FFB : chantiers, construction et environnement

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Le lundi 4 novembre, lors du salon Batimat, Bruno LECHEVIN, président de ADEME et Didier RIDORET, président de la Fédération Française du Bâtiment (FFB) ont renouvelé leur coopération pour accompagner les entreprises du bâtiment dans la mise en oeuvre du Plan d’investissement pour le logement et du Plan de rénovation énergétique de l’habitat.

Ce partenariat, qui se déclinera à l'échelle des régions, s’articule autour de plusieurs axes :

  • promouvoir et développer les qualifications "RGE" auprès des entreprises afin d’atteindre courant 2014 les 30 000 entreprises RGE ;
  • accompagner les entreprises du Bâtiment dans leur contribution au Plan de rénovation énergétique de l’habitat (PREH) ;
  • informer les entreprises sur la mise en œuvre de solutions techniques efficaces en matière de construction durable et de performance énergétique, en rénovation comme dans le neuf ;
  • accroître la qualité environnementale des chantiers par un accompagnement spécifique des entreprises : identification des impacts environnementaux, mise en place de plans d’action pour les réduire, sensibilisation des collaborateurs, rédaction de notice environnementale voire certification environnementale.

Le communiqué de presse du 04/11/2013 (PDF - 55 Ko)

RGE : identifier les professionnels « qualifiés » de la rénovation énergétique

Logo_rge

A l'occasion du salon BATIMAT, les professionnels du bâtiment se sont engagés, aux côtés de l'Etat et de l'ADEME, dans le renforcement du dispositif « RGE ». Lancée en 2011 pour les travaux d'amélioration énergétique, la mention « RGE » s'enrichit et s'ouvre aujourd'hui aux professionnels réalisant des études ainsi qu'aux industriels.

Présenté en mars 2013, le plan de rénovation énergétique de l’habitat répond à l’engagement du Président de la République de rénover 500 000 logements par an d’ici à 2017, afin de réduire de 38 % la consommation d’énergie dans le secteur du bâtiment à l’horizon 2020.

Tous les acteurs, et particulièrement la filière des professionnels du bâtiment, se mobilisent pour atteindre cet objectif. Deux piliers sont indispensables à la réussite de ce plan de rénovation énergétique :

  • des particuliers mieux informés et soutenus;
  • des professionnels du bâtiment mieux formés et qualifiés.

La rénovation énergétique de l'habitat répond à un triple enjeu : 

  • écologique : réduire les consommations pour lutter contre le dérèglement climatique ; 
  • social : lutter contre la précarité énergétique et réduire les charges qui pèsent sur les ménages ;
  • économique : soutenir le développement de la filière de rénovation énergétique et plus globalement l’activité dans le bâtiment, secteur créateur d’emplois non délocalisables.

Des particuliers informés

Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a lancé le 19 septembre 2013, avec les ministres Cécile Duflot et Philippe Martin, le service public de la rénovation énergétique, « J’éco-rénove, j’économise ». Ce dispositif a pour mission d’inciter les Français à engager des travaux de rénovation énergétique dans leur logement et de les aider dans leurs démarches.

Grâce à un numéro de téléphone unique (0 810 140 240), un site Internet (renovation-info-service.gouv.fr) et un réseau de conseillers répartis dans 450 « Points rénovation info service » (PRIS), les particuliers peuvent s’informer et avoir accès à de nouvelles aides financières aujourd’hui disponibles et accessibles à tous.

 Une campagne d’information en faveur de la rénovation énergétique des logements

Des professionnels qualifiés

Visuel Campagne RGESi la sensibilisation et l’accompagnement pratique et financier des particuliers constituent une réponse forte pour atteindre l’objectif fixé par le Président de la République, la montée en compétence des professionnels du bâtiment pour assurer un grand nombre de rénovations de qualité constitue le deuxième pilier indispensable à la réussite du plan de rénovation énergétique de l’habitat.

Depuis 2011, les entreprises et artisans bénéficiant d’une qualification professionnelle reconnue en matière de rénovation énergétique peuvent afficher la mention « RGE » pour les travaux. Celle-ci permet aux particuliers de les identifier plus facilement. Aujourd'hui, 9 000 entreprises environ bénéficient déjà d’une qualification « RGE » pour les travaux. 

Après cette première période de déploiement de la mention « RGE » pour les travaux, il a été décidé : 

  • de prolonger sur deux années supplémentaires le déploiement de la charte « RGE » pour les travaux via la signature d’un avenant à la charte d’engagement et d’étendre son périmètre en intégrant dans son champ les certifications portant sur une « offre globale » de rénovation ;
  • d’enrichir le dispositif « RGE » d’un volet concernant les professionnels de la maîtrise d’œuvre – bureaux d’étude, économistes de la construction, architectes – à travers le lancement de « RGE » pour les études. Cette nouvelle charte permettra d’une part d’identifier la compétence des professionnels en matière d’amélioration de la performance énergétique et, d’autre part, d’engager la montée en compétence de ces maîtres d’œuvre ; 
  • d’inscrire l’engagement des industriels produisant les matériaux de construction et de rénovation à former les artisans et promouvoir la mention RGE dans cette dynamique collective. 

Enrichie et étendue à de nouveaux professionnels, la démarche « RGE » fait peau neuve et change de nom pour devenir « Reconnu garant de l’environnement ».

Bâtiment : le vaste chantier de la formation

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  • 500 000 logements rénovés par an d’ici à 2017, selon l’objectif du plan de rénovation énergétique de l’habitat.
  • 1 482 000 actifs dans le secteur du bâtiment, dont 1 167 000 salariés et 315 000 artisans.
  • 9000 professionnels formés dans le cadre du FEE Bat.

Les chiffres parlent d'eux-même, la mobilisation et la montée en compétence des professionnels du bâtiment sont aujourd'hui essentielles pour que l'objectif du gouvernement puisse être atteint.

A l'occasion du Salon Bâtimat, rendez-vous international de l'innovation dans le bâtiment qui se tient à Villepinte du 4 au 8 novembre, ADEME&Vous a consacré le dossier central de son N°70 aux évolutions indispensables des pratiques dans ce secteur d'activité.

 ADEME&Vous N°70 (PDF - 2,9 Mo)

 Une campagne d’information en faveur de la rénovation énergétique des logements

30 octobre 2013

Entreprises et collectivités, pensez « Fonds Chaleur » pour vos économies d'énergie

Couv Campagne Fonds ChaleurLa production de chaleur représente la moitié de nos consommations d’énergie. Elle repose encore principalement sur les combustibles fossiles alors même que notre pays ne manque pas d’alternatives.

L’Etat a lancé en décembre 2008 un plan de 50 mesures en faveur des énergies renouvelables. Ce plan prévoyait notamment la mise en place d’un « fonds chaleur renouvelable » destiné à soutenir le développement de la production de chaleur à partir d'énergies renouvelables (biomasse, géothermie, solaire, biogaz) en incitant les entreprises (des secteurs primaire, secondaire et tertiaire) et les collectivités au remplacement d’installations existantes ou à la mise en place de nouveaux équipements.

Ainsi le Fonds Chaleur, doté d’une enveloppe de 1,2 milliard d’euros sur une période de 5 ans, a pour objectif de les aider financièrement. Il contribue aux objectifs du Paquet européen climat-énergie consistant à porter la part des énergies renouvelables à 23% dans la consommation énergétique nationale d’ici 2020 et devrait permettre la production supplémentaire de 5,47 millions de tep de chaleur renouvelable et de récupération à cette horizon.

L’Etat, par l’intermédiaire du Fonds Chaleur géré par l’ADEME, alloue des aides financières conséquentes. Cependant, toutes les entreprises et toutes les collectivités n’ont pas les mêmes besoins en terme de production de chaleur. Pour tenir compte de la diversité des situations, le Fonds Chaleur propose deux dispositifs :

 

- un appel à projets national 

Le BCIAT (appel à projets Biomasse Chaleur Industrie Agriculture et Tertiaire) permet à toutes les entreprises de déposer un dossier dès lors qu’elles produisent plus de 1000 tep/an et qu’elles souhaitent avoir recours à un dispositif utilisant la biomasse.

Le BCIAT obéit à un calendrier précis à consulter sur :

 www.ademe.fr/fondschaleur  

 En savoir plus

 BCIAT : B comme Biomasse, C comme Chaleur,...

 

- un dispositif d’aide régional

Pour les entreprises et les collectivités locales qui souhaitent s’équiper ou renouveler leur système de production de chaleur utilisant la biomasse pour une production inférieure à 1000 tep/an ou utilisant le solaire ou la géothermie, les dossiers doivent être déposés auprès des directions régionales de l’ADEMELes réseaux de chaleur sont également concernés et peuvent constituer une solution permettant une meilleure gestion de la production, de la distribution et de la consommation d'énergie. 

Le dispositif régional n’est pas soumis à un calendrier et les dossiers peuvent en conséquence être déposés tout au long de l’année, sauf si la région concernée a lancé un appel à projets régional.

Pour obtenir plus d’informations sur les modalités d’attribution des aides et sur les appels à projets régionaux, rendez-vous sur :

 www.ademe.fr/fondschaleur

... ou contactez directement les directions régionales de L’ADEME. Toutes leurs coordonnées sur :

 www.ademe.fr rubrique « L’ADEME en région »

 En savoir plus

29 octobre 2013

Des produits éco-labellisés pas si chers que ça !

Couv Guide LogosAprès avoir visité 81 magasins et relevé 1620 prix, une enquête inédite sur le choix et la compétitivité des « produits verts » écolabellisés - menée par la CLCV (association nationale de défense des consommateurs et usagers) avec le soutien de l'ADEME - fait état des constats suivants :  

  • le prix de certains produits écolabellisés peut rivaliser avec celui des enseignes hard discount (sans écolabel) (liquides vaisselle, filtres à café) ; mais les prix discount restent imbattables en ce qui concerne les lessives ;
  • les produits écolabellisés sont présents dans les rayons (hormis les shampooings et après-shampooings alors qu’ils existent) mais restent basiques et n’offrent pas toujours aux consommateurs de choix de gammes (ex : parfum, type de fermeture, etc.);
  • l’éventail des options proposé sur certains produits complexifie le choix du consommateur (exemple du sac-poubelle où le consommateur va devoir choisir entre le volume du sac, le type de fermeture (simple, poignée, coulissant) la qualité (anti-fuite, super résident parfumé) éventuellement la matière (recyclée ou non), etc.

 L'enquête détaillée

 En savoir plus sur la CLCV

 Notre guide pratique Les logos environnementaux sur les produits

Innovation : Smart Electric Lyon ou l'étude des usages de l’énergie électrique

Label IA_100mmLes systèmes électriques intelligents, notamment au travers du déploiement des compteurs communicants, permettront de transmettre au grand public des données relatives à leur consommation électrique.

Cette évolution va susciter l’apparition de nouveaux produits et services qui, eux-mêmes, pourront influencer les comportements de consommation. Le marché des réseaux électriques intelligents est au coeur de l’économie numérique et possède un fort potentiel de croissance notamment à l’international.

Le Grand Lyon, pilote d'une expérimentation européenne sur les systèmes électriques de demain

Capture Logo SELLe Président du Grand Lyon, EDF et ses partenaires - du monde de l’industrie et de la recherche - ont officiellement lancé, le 28 octobre 2013, le projet Smart Electric Lyon avec l’inauguration de son show-room. 

Coordonné par EDF et soutenu par l'ADEME dans le cadre des Investissements d'Avenir, Smart Electric Lyon est un important programme d’étude des usages de l’énergie électrique. Il ambitionne de sensibiliser 25 000 foyers expérimentateurs en mettant à leur disposition, via courrier et internet, un bilan de leur consommation en euros et kWh, des repères permettant de situer leur consommation par rapport à celle de logements comparables ainsi que des conseils personnalisés.

En parallèle, des solutions techniques (systèmes de gestion d’énergie, afficheurs, chauffages électriques pilotés…) couplées à des offres tarifaires seront développées et testées sur près de 2 500 logements (maisons individuelles et logements collectifs publics et privés) et 100 sites tertiaires (public et privé).

Ces expérimentations, intégrées à un programme de recherche multidisciplinaire, devraient permettre une meilleure compréhension des comportements des consommateurs et leur appétence pour de nouvelles offres tarifaires.

Les résultats attendus du projet Smart Electric Lyon

  • Innovation : les produits et services développés seront interactifs et interopérables (équipements de gestion et de confort énergétiques, services d’informations, interfaces web et applications mobiles).
  • Economie : les gains pour chaque type d’agent économique (ménages, entreprises, collectivités) seront évalués et valorisés à travers des modèles d’affaires innovants.
  • Environnement : les solutions proposées devraient permettre la réduction des consommations et des effacements à la pointe. Le projet permettra d’évaluer ces gisements d’économies d’énergie et de mieux prendre en compte la gestion active dans l’optimisation du réseau électrique.
  • Social : le projet évaluera de quelle manière, et dans quelles conditions, les technologies de gestion de l’énergie peuvent optimiser les usages des ménages et des entreprises. Il prendra en considération la diversité et la complexité des facteurs humains.

 Le dossier de presse Smart Electric Lyon (PDF - 1,7 Mo)

 En savoir plus sur le Programme Investissements d'Avenir 

24 octobre 2013

AACT-AIR : 10 lauréats s'impliquent pour améliorer la qualité de l'air

Bannière AACT-AIR
En 2013, l’ADEME a initié un nouvel appel à projets à destination des collectivités, acteurs essentiels de la lutte contre la pollution atmosphérique.

Cet appel à projets, intitulé AACT-AIR pour « Aide à l’Action des Collectivités Territoriales et locales en faveur de l’Air », a pour vocation d’aider les collectivités locales et territoriales à améliorer la qualité de l’air et surmonter les difficultés rencontrées. En effet, ces collectivités peuvent être confrontées à des obstacles juridiques et/ou techniques ou encore manquer de moyens financiers et, par conséquent, être dans l’incapacité d’agir. 

Il s'agit pour l'ADEME d'encourager leur volonté d’actions et de les accompagner dans la mise en œuvre et l’évaluation d’actions ou d’expérimentations.

Plus concrètement, AACT-AIR permet d’apporter une aide financière à des projets portés par :

  • des collectivités territoriales ou groupement de communes, l’aide de l’ADEME porte alors sur un financement d’études; 
  • des organismes de recherche, en partenariat avec une ou plusieurs collectivités, l’aide de l’ADEME porte alors sur le financement d’un projet de R&D.

A l’occasion des 2ème Assises nationales de la qualité de l’air qui se tiennent actuellement à Paris, l’ADEME présente aujourd’hui les 10 lauréats de cet appel à projets sélectionnés par ses soins en vue d’une contractualisation prochaine.

 Pour en savoir plus sur les lauréats, notre communiqué du 24102013 (PDF - 527 Ko)

 Pour en savoir plus sur l'appel à projets AACT-AIR

Le chauffage au bois séduit toujours plus de ménages

Le bois est un mode de chauffage qui séduit de plus en plus de particuliers : 7,4 millions de ménages français se chauffent aujourd'hui au bois, contre 5,9 millions en 1999.

La consommation en bois est, quant à elle, restée stable, grâce notamment à l'amélioration des performances énergétiques des appareils mis sur le marché.

Le parc domestique de chauffage au bois doit néanmoins poursuivre son renouvellement, les appareils anciens (antérieurs à 2002) et les foyers ouverts, peu efficaces et polluants, étant encore très présents.

Ce sont les principales conclusions d'une étude inédite de l'ADEME intitulée « Le chauffage domestique au bois : marchés et approvisionnement ». 

 La synthèse de l'étude (PDF - 1,3 Mo)

 Notre communiqué du 24102013 (PDF - 308 Ko)

 

Logo Flamme verteDans un Avis dédié au chauffage au bois et à la qualité de l'air, l'ADEME recommande notamment aux particuliers de réduire l'usage des appareils individuels les plus émetteurs de polluants.

En l'état des connaissances actuelles, les foyers ouverts ainsi que les appareils à foyer fermé datant d'avant 2002 doivent être ciblés prioritairement et remplacés par les équipements les plus performants (porteurs du label Flamme Verte ou présentant des performances équivalentes).

Les progrès techniques réalisés sur les appareils au bois depuis 2002 ont en effet permis de réduire considérablement les émissions de polluants et d’améliorer l’efficacité énergétique des équipements.

 L'Avis de l'ADEME (PDF -  963 Ko)

 En savoir plus sur le chauffage au bois

 Notre guide La qualité de l'air et le chauffage au bois